Les paroles de la chanson
« Avec qui tu vis ? »
Phil Barney
J’aurais voulu apprendre à lire
Dans tes yeux et sur ton cœur
Pour pouvoir enfin te dire
Que de te voir c’est mon bonheur
L’absence habite dans ma maison
Où flottent encore toutes ces odeurs
Que tu laissais par déraison
Traîner partout comme des rumeurs
{Refrain:}
Avec qui tu vis, avec qui tu dors?
Est-il aussi gentil que moi?
Quand avec lui tu corps à corps
Cries-tu l’amour à haute voix?
Est-ce qu’il t’écrit de belles chansons
Avec un morceau de son cœur?
Comme moi, est-ce qu’il demande pardon
Quand il a fait couler tes pleurs?
Tu m’avais dit avant d’ partir
"Surtout ne m’oublie pas trop vite!"
J’ t’ai vu t’éloigner sans rien dire
Comme une bêtise qu’on prémédite
Il y a encore le téléphone
Où quelquefois je peux appeler
Mais ta voix dans le microphone
Est juste là pour m’ faire pleurer
{au Refrain}
Je tourne en rond, j’ai mal partout
J’entends tes pas dans l’escalier
C’est seulement le voisin du dessous
Il faut que j’arrête d’y penser
Il y a toujours les mêmes images
De tes velours sur ce grand lit
Tous ces cadeaux comme des mirages
Que tu offres maintenant à lui
{au Refrain, ad lib}
Dans tes yeux et sur ton cœur
Pour pouvoir enfin te dire
Que de te voir c’est mon bonheur
L’absence habite dans ma maison
Où flottent encore toutes ces odeurs
Que tu laissais par déraison
Traîner partout comme des rumeurs
{Refrain:}
Avec qui tu vis, avec qui tu dors?
Est-il aussi gentil que moi?
Quand avec lui tu corps à corps
Cries-tu l’amour à haute voix?
Est-ce qu’il t’écrit de belles chansons
Avec un morceau de son cœur?
Comme moi, est-ce qu’il demande pardon
Quand il a fait couler tes pleurs?
Tu m’avais dit avant d’ partir
"Surtout ne m’oublie pas trop vite!"
J’ t’ai vu t’éloigner sans rien dire
Comme une bêtise qu’on prémédite
Il y a encore le téléphone
Où quelquefois je peux appeler
Mais ta voix dans le microphone
Est juste là pour m’ faire pleurer
{au Refrain}
Je tourne en rond, j’ai mal partout
J’entends tes pas dans l’escalier
C’est seulement le voisin du dessous
Il faut que j’arrête d’y penser
Il y a toujours les mêmes images
De tes velours sur ce grand lit
Tous ces cadeaux comme des mirages
Que tu offres maintenant à lui
{au Refrain, ad lib}