Les paroles de la chanson
« Ave »
Véronique Pestel
Très haut amour, s’il se peut que je meure
Sans avoir su d’où je vous possédais
En quel soleil était votre demeure
En quel passé votre temps, en quelle heure
Je vous aimais
Très haut amour qui passez la mémoire
Feu sans foyer dont j’ai fait tout mon jour
En quel destin vous traciez mon histoire
En quel sommeil se voyait votre gloire
Ô mon séjour
Quand je serai pour moi-même perdue
Et divisée à l’abîme infini
Infiniment quand je serai rompue
Quand le présent dont je suis revêtue
Aura trahi
Par l’univers en mille corps brisée
De mille instants non rassemblés encor
De cendre aux cieux jusqu’au néant vannée
Vous referez pour une étrange année
Un seul trésor {x2}
Vous referez mon nom et mon image
De mille corps emportés par le jour
Vive unité sans nom et sans visage
Cœur de l’esprit, ô centre du mirage
Très haut amour {x2}
Très haut amour, s’il se peut que je meure
Sans avoir su d’où je vous possédais
En quel soleil était votre demeure
En quel passé votre temps, en quelle heure
Je vous aimais {x2}
Sans avoir su d’où je vous possédais
En quel soleil était votre demeure
En quel passé votre temps, en quelle heure
Je vous aimais
Très haut amour qui passez la mémoire
Feu sans foyer dont j’ai fait tout mon jour
En quel destin vous traciez mon histoire
En quel sommeil se voyait votre gloire
Ô mon séjour
Quand je serai pour moi-même perdue
Et divisée à l’abîme infini
Infiniment quand je serai rompue
Quand le présent dont je suis revêtue
Aura trahi
Par l’univers en mille corps brisée
De mille instants non rassemblés encor
De cendre aux cieux jusqu’au néant vannée
Vous referez pour une étrange année
Un seul trésor {x2}
Vous referez mon nom et mon image
De mille corps emportés par le jour
Vive unité sans nom et sans visage
Cœur de l’esprit, ô centre du mirage
Très haut amour {x2}
Très haut amour, s’il se peut que je meure
Sans avoir su d’où je vous possédais
En quel soleil était votre demeure
En quel passé votre temps, en quelle heure
Je vous aimais {x2}