Les paroles de la chanson
« Avant-hier »
Claire Lise
Et si les mots que je t’écris te font mal alors tant mieux
Et même s’ils ne te font rien à moi il me font du bien
Quel plaisir de fantasmer, d’imaginer que tu vas pleurer
Pourtant je suppose, je suppose mais non c’est trop beau
Tu vas souffrir de ma vérité, et t’étonner de ma cruauté
Et balbutier comme un enfant qui comprend pas, mais qui comprend
Et je te laisserais pas parler
Oh non cette fois tu vas m’entendre a défaut de m’écouter
Tes belles idées c’est trop faciles
Mais qui y croit à part toi vraiment?
T’es encore trop p’tit pour les sentiments
T’as pas passé dis mais il serait grand temps
Comment fais-tu pour supporter ce corps si grand?
Comment ton coeur n’a pas claqué
Il est si p’tit pour son enveloppe
Il est si laid quand il s’entête à faire semblant d’aimer, aimer
Je sais que tu n’y peux rien et que t’es sûr d’avoir raison
Rien ne te dis qu’on ne peut souffrir
On pense mal, on est stupide mais on pense pas aux autres
Est-ce que ça tu peux l’comprendre?
Si t’as pas d’coeur, t’as un cerveau
Le pire c’est qu’il fonctionne
A quoi bon perdre du temps a essayer de comprendre
Ca sert à quoi de s’attacher si ce n’est qu’à faire du mal
Autant se laisser traverser par le bonheur tant qu’il en passe
Quelle belle théorie et quelle ingratitude
Et si les mots que je t’écris te font mal alors tant mieux
Et même s’ils ne te font rien à moi ils me font du bien
Quel plaisir de fantasmer, d’imaginer que tu vas pleurer
Et pourtant je suppose, je suppose
Et même s’ils ne te font rien à moi il me font du bien
Quel plaisir de fantasmer, d’imaginer que tu vas pleurer
Pourtant je suppose, je suppose mais non c’est trop beau
Tu vas souffrir de ma vérité, et t’étonner de ma cruauté
Et balbutier comme un enfant qui comprend pas, mais qui comprend
Et je te laisserais pas parler
Oh non cette fois tu vas m’entendre a défaut de m’écouter
Tes belles idées c’est trop faciles
Mais qui y croit à part toi vraiment?
T’es encore trop p’tit pour les sentiments
T’as pas passé dis mais il serait grand temps
Comment fais-tu pour supporter ce corps si grand?
Comment ton coeur n’a pas claqué
Il est si p’tit pour son enveloppe
Il est si laid quand il s’entête à faire semblant d’aimer, aimer
Je sais que tu n’y peux rien et que t’es sûr d’avoir raison
Rien ne te dis qu’on ne peut souffrir
On pense mal, on est stupide mais on pense pas aux autres
Est-ce que ça tu peux l’comprendre?
Si t’as pas d’coeur, t’as un cerveau
Le pire c’est qu’il fonctionne
A quoi bon perdre du temps a essayer de comprendre
Ca sert à quoi de s’attacher si ce n’est qu’à faire du mal
Autant se laisser traverser par le bonheur tant qu’il en passe
Quelle belle théorie et quelle ingratitude
Et si les mots que je t’écris te font mal alors tant mieux
Et même s’ils ne te font rien à moi ils me font du bien
Quel plaisir de fantasmer, d’imaginer que tu vas pleurer
Et pourtant je suppose, je suppose