Les paroles de la chanson
« Avant de t'aimer »
Charles Aznavour
Avant de t’aimer, je croyais que les femmes étaient des églises
Comme aux quatre coins de Venise et qu’on pouvait les visiter
Avant de t’aimer, je disais qu’elles n’étaient que gourmandise
Comme le sont les friandises et qu’on pouvait les partager
Avant de t’aimer, je croyais que les femmes étaient des chapelles
Enfermées dans les citadelles offertes au voeu de chasteté
Avant de t’aimer, je pensais que les femmes étaient sans cervelle
Qu’elles n’étaient que des modèles pour un pinceau, pour un maillet
Avant de t’aimer, je croyais que les femmes étaient des paroisses
Appartenant au garde-chasse qui piège et bague son gibier
Avant de t’aimer, je doutais des femmes et de ce qu’elles apportent
Quand elles referment la porte, sans un regard sans un regret
Mais aujourd’hui, femmes, je sais que vous êtes des cathédrales
Femmes fourmis, femmes cigales, femmes faites pour être aimées
Femme espérance, soit louée, toi, que j’imaginais naïve
Tu m’as sauvé de la dérive des larmes où mon coeur se noyait
Avant de t’aimer, je croyais que les femmes étaient des églises
Comme aux quatre coins de Venise et qu’on pouvait les visiter
Mais c’était avant de t’aimer c’était bien avant de t’aimer
Comme aux quatre coins de Venise et qu’on pouvait les visiter
Avant de t’aimer, je disais qu’elles n’étaient que gourmandise
Comme le sont les friandises et qu’on pouvait les partager
Avant de t’aimer, je croyais que les femmes étaient des chapelles
Enfermées dans les citadelles offertes au voeu de chasteté
Avant de t’aimer, je pensais que les femmes étaient sans cervelle
Qu’elles n’étaient que des modèles pour un pinceau, pour un maillet
Avant de t’aimer, je croyais que les femmes étaient des paroisses
Appartenant au garde-chasse qui piège et bague son gibier
Avant de t’aimer, je doutais des femmes et de ce qu’elles apportent
Quand elles referment la porte, sans un regard sans un regret
Mais aujourd’hui, femmes, je sais que vous êtes des cathédrales
Femmes fourmis, femmes cigales, femmes faites pour être aimées
Femme espérance, soit louée, toi, que j’imaginais naïve
Tu m’as sauvé de la dérive des larmes où mon coeur se noyait
Avant de t’aimer, je croyais que les femmes étaient des églises
Comme aux quatre coins de Venise et qu’on pouvait les visiter
Mais c’était avant de t’aimer c’était bien avant de t’aimer