Les paroles de la chanson
« Autour de moi les fous »
Saez
Autour de moi les fous font la conversation
Les données du système moi, je n’y comprends rien
A la table des rois on a jeté les dés
Les peuples sous la croix et les femmes au combat
Demain nous verrons bien toujours pire je suppose
Au plus bas du tréfonds de la nature humaine
Naufragés dans la nuit direction la sortie
Nous tentons l’évasion comme on peut au milieu
Des mangas à la con, des crétins animés
L’infantilisation au service des pouvoirs
au gré des élections c’est la prostitution
Ces Connards de Barbares qui gouvernent l’étoile,
La faim sur les trottoirs de la Californie
Et la merde qu’on bouffe... au goût de paradis
On s’achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d’éphémère,
Sur l’étoile d’argent le cerveau ou la chair
Faudra choisir un camp
L’obscur ou la lumière,
L’obscur ou la lumière...
Autour de moi les fous font la conversation
Les données du système moi, je n’y comprends rien
A la table des rois on a jeté les dés
Les peuples sous la croix et les femmes au combat
Demain nous verrons bien toujours pire je suppose
Au plus bas du tréfonds de la nature humaine
Naufragés dans la nuit direction la sortie
Nous tentons l’évasion comme on peut au milieu
Des crétins animés, des mangas à la con
L’infantilisation au service des pouvoirs
au gré des élections c’est la prostitution
Ces Connards de Barbares qui gouvernent l’étoile,
La faim sur les trottoirs de la Californie
Et la merde qu’on bouffe... au goût de paradis
On s’achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d’éphémère,
Sur l’étoile d’argent solitaire solidaire
Faudra choisir un camp
L’obscur ou la lumière...
On s’achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d’éphémère,
Sur l’étoile d’argent solitaire solidaire
Faudra choisir un camp
L’obscur ou la lumière...
L’obscur ou la lumière
A l’arrière des cafés Au grés des verres de vin
Dans nos coeurs la beauté
Boit des coups la jeunesse
De dessous les pavés
Tu me passes le joint
Vont les grandes idées,
Dans le feu de l’ivresse
Y’a Martin et Lisa
Qui me disent "on y croit"
Dire qu’on avait des rêves...
Rappelle-toi.
Les données du système moi, je n’y comprends rien
A la table des rois on a jeté les dés
Les peuples sous la croix et les femmes au combat
Demain nous verrons bien toujours pire je suppose
Au plus bas du tréfonds de la nature humaine
Naufragés dans la nuit direction la sortie
Nous tentons l’évasion comme on peut au milieu
Des mangas à la con, des crétins animés
L’infantilisation au service des pouvoirs
au gré des élections c’est la prostitution
Ces Connards de Barbares qui gouvernent l’étoile,
La faim sur les trottoirs de la Californie
Et la merde qu’on bouffe... au goût de paradis
On s’achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d’éphémère,
Sur l’étoile d’argent le cerveau ou la chair
Faudra choisir un camp
L’obscur ou la lumière,
L’obscur ou la lumière...
Autour de moi les fous font la conversation
Les données du système moi, je n’y comprends rien
A la table des rois on a jeté les dés
Les peuples sous la croix et les femmes au combat
Demain nous verrons bien toujours pire je suppose
Au plus bas du tréfonds de la nature humaine
Naufragés dans la nuit direction la sortie
Nous tentons l’évasion comme on peut au milieu
Des crétins animés, des mangas à la con
L’infantilisation au service des pouvoirs
au gré des élections c’est la prostitution
Ces Connards de Barbares qui gouvernent l’étoile,
La faim sur les trottoirs de la Californie
Et la merde qu’on bouffe... au goût de paradis
On s’achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d’éphémère,
Sur l’étoile d’argent solitaire solidaire
Faudra choisir un camp
L’obscur ou la lumière...
On s’achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d’éphémère,
Sur l’étoile d’argent solitaire solidaire
Faudra choisir un camp
L’obscur ou la lumière...
L’obscur ou la lumière
A l’arrière des cafés Au grés des verres de vin
Dans nos coeurs la beauté
Boit des coups la jeunesse
De dessous les pavés
Tu me passes le joint
Vont les grandes idées,
Dans le feu de l’ivresse
Y’a Martin et Lisa
Qui me disent "on y croit"
Dire qu’on avait des rêves...
Rappelle-toi.