Les paroles de la chanson
« Autant pour un temps »
Georges Chelon
Autant pour un temps faire en sorte
Que ça ne se remarque pas
On peut parler de choses et d’autres
Sans aller crier sur les toits
Que l’on n’a plus rien à se dire
Que le couple parfait
Pour le meilleur et pour le pire
Va se séparer
Un peu de rouge sur les lèvres
Un peu de bleu sur les yeux
Vivons la fin de notre rêve
En amoureux
La tendresse que l’on se porte
Masquera notre désarroi
Autant pour un temps faire en sorte
Que ça ne se remarque pas
Mais donne-moi la main, je tombe
Tout se vide autour de moi
Je marche au milieu des décombres
J’ai encore besoin de toi
J’envie les êtres qui se déchirent
A coups de cœurs, passionnément
Ce besoin de tout détruire, je l’ai en moi
Je les comprends
Pourtant autour de cette table
Nous devisons tous les deux
Sur la manière la plus raisonnable
De nous dire adieu
On a franchi des montagnes
On a fait briller des soleils
On a mis toute notre hargne
Pour gagner notre coin de ciel
On arrive au bout de la route
On ne se rebelle pas
L’usure de la vie, sans doute
Ces mots répétés mille fois
Mais donne-moi la main, je tombe
Tout se vide autour de moi
Je marche au milieu des décombres
J’ai encore envie de toi
Que le meilleur reste à venir
Je n’en doute pas
On s’est fait de beaux souvenirs
Et c’est déjà ça
Nous ne vieillirons pas ensemble
Enfin, non, pas cette fois
On dit qu’à force on se ressemble
Un peu de moi reste avec toi
C’est bête qu’il n’ait pas voulu naître
Voulu faire de nous ses parents
Penser qu’un autre homme, peut-être
Une autre femme dans quelque temps
J’entends déjà les gens nous dire
Quand ils seront au courant :
"Vous avez évité le pire :
Il n’y a pas d’enfant"
J’entends déjà les gens le dire
C’est con, ce que disent les gens
Que ça ne se remarque pas
On peut parler de choses et d’autres
Sans aller crier sur les toits
Que l’on n’a plus rien à se dire
Que le couple parfait
Pour le meilleur et pour le pire
Va se séparer
Un peu de rouge sur les lèvres
Un peu de bleu sur les yeux
Vivons la fin de notre rêve
En amoureux
La tendresse que l’on se porte
Masquera notre désarroi
Autant pour un temps faire en sorte
Que ça ne se remarque pas
Mais donne-moi la main, je tombe
Tout se vide autour de moi
Je marche au milieu des décombres
J’ai encore besoin de toi
J’envie les êtres qui se déchirent
A coups de cœurs, passionnément
Ce besoin de tout détruire, je l’ai en moi
Je les comprends
Pourtant autour de cette table
Nous devisons tous les deux
Sur la manière la plus raisonnable
De nous dire adieu
On a franchi des montagnes
On a fait briller des soleils
On a mis toute notre hargne
Pour gagner notre coin de ciel
On arrive au bout de la route
On ne se rebelle pas
L’usure de la vie, sans doute
Ces mots répétés mille fois
Mais donne-moi la main, je tombe
Tout se vide autour de moi
Je marche au milieu des décombres
J’ai encore envie de toi
Que le meilleur reste à venir
Je n’en doute pas
On s’est fait de beaux souvenirs
Et c’est déjà ça
Nous ne vieillirons pas ensemble
Enfin, non, pas cette fois
On dit qu’à force on se ressemble
Un peu de moi reste avec toi
C’est bête qu’il n’ait pas voulu naître
Voulu faire de nous ses parents
Penser qu’un autre homme, peut-être
Une autre femme dans quelque temps
J’entends déjà les gens nous dire
Quand ils seront au courant :
"Vous avez évité le pire :
Il n’y a pas d’enfant"
J’entends déjà les gens le dire
C’est con, ce que disent les gens
