Les paroles de la chanson
« Au pays des aveugles »
Johnny Hallyday
Le visage contre le mur
Je n’entends plus de murmures
Prends le masque de mes yeux
Je tends l’oreille vers les cieux
Il n’y a personne ici
Où la confusion est née
Le vieillard est couronné
Rien n’alourdit mon esprit
Laisse ma main montrer la vie
Car j’apporte quelque chose
L’étoile de la peur m’étrangle
Et m’entraîne sous la terre
Jusqu’au pays des aveugles
Dans le feu je brûle entier
Malgré mon besoin de vie
Prisonnier de mon esprit
Le visage contre le mur
Ecrasé par la torture
Une larme silencieuse
Quand la vie est en veilleuse
Ne peut rien changer du tout
L’étoile de la peur m’étrangle
Et m’entraîne sous la terre
Jusqu’au pays des aveugles
Dans le feu je brûle entier
Malgré mon besoin de vie
Prisonnier de mon esprit
Le visage contre le mur
La poussière sur mes chaussures
Mon testament est fini
Je n’ai rien à faire ici
La réalité s’éveille
Le visage contre le mur
Quand profonde est la blessure
Quand pas une feuille ne bouge
Quand le poignard devient rouge
Il faut tourner cette page {x2}
Le visage contre le mur {x2}
Jusqu’au pays des aveugles {x2}
Je n’entends plus de murmures
Prends le masque de mes yeux
Je tends l’oreille vers les cieux
Il n’y a personne ici
Où la confusion est née
Le vieillard est couronné
Rien n’alourdit mon esprit
Laisse ma main montrer la vie
Car j’apporte quelque chose
L’étoile de la peur m’étrangle
Et m’entraîne sous la terre
Jusqu’au pays des aveugles
Dans le feu je brûle entier
Malgré mon besoin de vie
Prisonnier de mon esprit
Le visage contre le mur
Ecrasé par la torture
Une larme silencieuse
Quand la vie est en veilleuse
Ne peut rien changer du tout
L’étoile de la peur m’étrangle
Et m’entraîne sous la terre
Jusqu’au pays des aveugles
Dans le feu je brûle entier
Malgré mon besoin de vie
Prisonnier de mon esprit
Le visage contre le mur
La poussière sur mes chaussures
Mon testament est fini
Je n’ai rien à faire ici
La réalité s’éveille
Le visage contre le mur
Quand profonde est la blessure
Quand pas une feuille ne bouge
Quand le poignard devient rouge
Il faut tourner cette page {x2}
Le visage contre le mur {x2}
Jusqu’au pays des aveugles {x2}