Les paroles de la chanson
« Au nom des droits de l'homme »
Enrico Macias
AU NOM DES DROITS DE L’HOMME
Au nom des droits de l’homme
Ils ont fait le don de leur personne
Les pavés des rues comme dernier rempart
De leur sang ils ont écrit l’histoire
Au nom des droits de l’homme
Les idoles un jour se déboulonnent
Libérez l’esclave de son champ de coton
Et les femmes de toute soumission
Partout la liberté affronte les forces du mal
Mais rien n’est plus fragile qu’un idéal
Quand le poète écrit ce qui lui passe par le cœur
l’amour n’a plus de religion ni de couleur
Au nom des droits de l’homme
Les prisons en jardin se transforment
Mais si nos espoirs sont au creux de la vague
Fleuriront d’autres printemps de Prague
Refrain
Partout la liberté affronte les forces du mal
Mais rien n’est plus fragile qu’un idéal
Quand le poète écrit ce qui lui passe par le cœur
L’amour n’a plus de religion ni de couleur
Au nom des droits de l’homme
Battons-nous face à la bête immonde
Qui rappelle encore et de triste mémoire
Les images de Nuits et Brouillards
Au nom des droits de l’homme
Un seul cri soulève des millions d’hommes
Au-delà des mots et des statues de pierre
Nous savons ce qu’il nous reste à faire
Nous unir tous autant que nous sommes...
Pour s’aimer au nom des droits de l’homme...
Au nom des droits de l’homme
Ils ont fait le don de leur personne
Les pavés des rues comme dernier rempart
De leur sang ils ont écrit l’histoire
Au nom des droits de l’homme
Les idoles un jour se déboulonnent
Libérez l’esclave de son champ de coton
Et les femmes de toute soumission
Partout la liberté affronte les forces du mal
Mais rien n’est plus fragile qu’un idéal
Quand le poète écrit ce qui lui passe par le cœur
l’amour n’a plus de religion ni de couleur
Au nom des droits de l’homme
Les prisons en jardin se transforment
Mais si nos espoirs sont au creux de la vague
Fleuriront d’autres printemps de Prague
Refrain
Partout la liberté affronte les forces du mal
Mais rien n’est plus fragile qu’un idéal
Quand le poète écrit ce qui lui passe par le cœur
L’amour n’a plus de religion ni de couleur
Au nom des droits de l’homme
Battons-nous face à la bête immonde
Qui rappelle encore et de triste mémoire
Les images de Nuits et Brouillards
Au nom des droits de l’homme
Un seul cri soulève des millions d’hommes
Au-delà des mots et des statues de pierre
Nous savons ce qu’il nous reste à faire
Nous unir tous autant que nous sommes...
Pour s’aimer au nom des droits de l’homme...