Les paroles de la chanson
« Au marché des illusions »
Babylon Circus
Bienvenue dans l’univers des instants magiques
Où les rencontres éphémères
Se mêlent aux discussions philosophiques
Au marché des illusions, le marchand de sable vend du rêve...
A la preeeeesssssion!
On s’y perd, on s’y retrouve
On y cherche des repères
Mais toujours on s’y rejette
En se disant : "J’arrête!"
Demain... si tout va bien!
On se raconte des histoires
Impossibles à vérifier
Vraies ou pas, des fois
On sait même plus si on le sait.
En tout cas on y croit
Et très fort!
On s’enfièvre, ça transpire la passion
Plaisir de raconter
Ou de faire sensation?
"Ça déblatère!
Ça désaltère!"
Tu parles beaucoup de tout ce que t’as fait
Mais tu feras jamais la moitié de tout ce que t’as dit
Et tu parles beaucoup
Tellement
Dis-moi comment et où
Tu trouveras le temps de te rendre sur la comète
Vérifier tes plans!
Au marché des illusions
Les soucis sont dissous dans de l’alcool bon marché.
Au marché des illusions
Les soucis s’oublient à la tournée du patron!
Tu te plains qu’tu fais tout à l’envers
Envers et contre tous tu découvres l’univers.
"Et quel univers!"
Un verre plein à craquer qui va bientôt déborder
Plein d’amour et de haine et de tout mélangé.
Et tu veux à tout prix
Sans effort et sans esprit
Des cents des mille
Les lauriers et les mille et une nuits
"Et t’en démords pas
Tu voudrais voir la mer s’ouvrir devant toi!"
Souvent t’as tort, et plus t’as tort, plus tu mens
Plus tu mens, moins tu t’en sors
Alors tu bois et tu trembles
Et plus tu trembles, plus t’as peur
Plus t’as peur plus t’en redemandes.
Et tu cries et tu pleures!
Quand le besoin à dépassé l’envie
Les feux de la rampe s’éteignent
Et laissent place à l’ennui
Et on croit qu’on oublie
Mais on n’oublie jamais vraiment.
Et à la fin de la nuit
L’angoisse a chassée l’euphorie.
"Mort de rire la veille
Pire que mort au réveil!"
Au marché des illusions
Y a des fois ça s’énerve
Souvent pour pas grand chose
Au marché des illusions
Ça finit souvent en tempête
Et parfois en chanson!
Où les rencontres éphémères
Se mêlent aux discussions philosophiques
Au marché des illusions, le marchand de sable vend du rêve...
A la preeeeesssssion!
On s’y perd, on s’y retrouve
On y cherche des repères
Mais toujours on s’y rejette
En se disant : "J’arrête!"
Demain... si tout va bien!
On se raconte des histoires
Impossibles à vérifier
Vraies ou pas, des fois
On sait même plus si on le sait.
En tout cas on y croit
Et très fort!
On s’enfièvre, ça transpire la passion
Plaisir de raconter
Ou de faire sensation?
"Ça déblatère!
Ça désaltère!"
Tu parles beaucoup de tout ce que t’as fait
Mais tu feras jamais la moitié de tout ce que t’as dit
Et tu parles beaucoup
Tellement
Dis-moi comment et où
Tu trouveras le temps de te rendre sur la comète
Vérifier tes plans!
Au marché des illusions
Les soucis sont dissous dans de l’alcool bon marché.
Au marché des illusions
Les soucis s’oublient à la tournée du patron!
Tu te plains qu’tu fais tout à l’envers
Envers et contre tous tu découvres l’univers.
"Et quel univers!"
Un verre plein à craquer qui va bientôt déborder
Plein d’amour et de haine et de tout mélangé.
Et tu veux à tout prix
Sans effort et sans esprit
Des cents des mille
Les lauriers et les mille et une nuits
"Et t’en démords pas
Tu voudrais voir la mer s’ouvrir devant toi!"
Souvent t’as tort, et plus t’as tort, plus tu mens
Plus tu mens, moins tu t’en sors
Alors tu bois et tu trembles
Et plus tu trembles, plus t’as peur
Plus t’as peur plus t’en redemandes.
Et tu cries et tu pleures!
Quand le besoin à dépassé l’envie
Les feux de la rampe s’éteignent
Et laissent place à l’ennui
Et on croit qu’on oublie
Mais on n’oublie jamais vraiment.
Et à la fin de la nuit
L’angoisse a chassée l’euphorie.
"Mort de rire la veille
Pire que mort au réveil!"
Au marché des illusions
Y a des fois ça s’énerve
Souvent pour pas grand chose
Au marché des illusions
Ça finit souvent en tempête
Et parfois en chanson!