Les paroles de la chanson
« Au firmament »
Willy Denzey
A l’époque de nos jeunes âges
Je n’ai su tourner la page
Et dans ce malheur
J’y ai laissé mon cœur
T’avoir vu allongée là
Dans ce grand lit blanc et froid
La vie avait quitté ton corps
Et j’en pleure encore et encore
Je revois ces deux enfants
Qui ne comptaient pas le temps
On se promettait des choses
On voyait la vie en rose
On ne s’est jamais quitté
Même durant les jours d’été
Et puis passent les semaines
Jusqu’au tout premier "je t’aime"
Au firmament, je veux être avec toi
Serré contre tes bras
Au paradis des anges
Au firmament, couchés sur un nuage
Caressant ton visage
Personne ne nous dérange
A présent, j’ai pris de l’âge
Et je revois ces images
Car depuis ce malheur
Mon âme reste ta demeure
J’ai tenté de t’oublier
Et ton sourire, effacer
D’autres t’ont remplacée
Mais ta présence les a repoussées
Je me souviens de nos nuits
Où l’amour noyait nos vies
Et je te voulais pour femme
Quand notre idylle tourna au drame
Je t’ai veillée jour et nuit
Les dieux, je les ai tous maudits
Et puis passent les semaines
Jusqu’au tout dernier "je t’aime"
Au firmament, je veux être avec toi
Serré contre tes bras
Au paradis des anges
Au firmament, couchés sur un nuage
Caressant ton visage
Personne ne nous dérange
Je n’ai su tourner la page
Et dans ce malheur
J’y ai laissé mon cœur
T’avoir vu allongée là
Dans ce grand lit blanc et froid
La vie avait quitté ton corps
Et j’en pleure encore et encore
Je revois ces deux enfants
Qui ne comptaient pas le temps
On se promettait des choses
On voyait la vie en rose
On ne s’est jamais quitté
Même durant les jours d’été
Et puis passent les semaines
Jusqu’au tout premier "je t’aime"
Au firmament, je veux être avec toi
Serré contre tes bras
Au paradis des anges
Au firmament, couchés sur un nuage
Caressant ton visage
Personne ne nous dérange
A présent, j’ai pris de l’âge
Et je revois ces images
Car depuis ce malheur
Mon âme reste ta demeure
J’ai tenté de t’oublier
Et ton sourire, effacer
D’autres t’ont remplacée
Mais ta présence les a repoussées
Je me souviens de nos nuits
Où l’amour noyait nos vies
Et je te voulais pour femme
Quand notre idylle tourna au drame
Je t’ai veillée jour et nuit
Les dieux, je les ai tous maudits
Et puis passent les semaines
Jusqu’au tout dernier "je t’aime"
Au firmament, je veux être avec toi
Serré contre tes bras
Au paradis des anges
Au firmament, couchés sur un nuage
Caressant ton visage
Personne ne nous dérange