Les paroles de la chanson
« Au comptoir »
Debout Sur Le Zinc
Allez soulève ta bedaine, arrête de boire
Ta bouche bave et tous les gens te regardent
Comme si t’avais trois têtes...
Je viens, mais ne me gronde pas,
Car je suis las, et triste,
Et la vie m’est fade
Car j’ai l’amour pour la fille de l’autre jour
Elle m’a regardé et j’ai pleuré
Elle m’a souri et puis s’est envolée
Mon cœur s’est brisé seule elle pourrait le réparer
Arrête de rêver, c’est pas toi qu’elle regardait,
On était cent dans la rue,
Tu as du te tromper pauvre fou
Mais je l’aime et je n’y peux rien,
Et je veux boire, et boire pour y penser
Elle était belle
Comme une fleur, comme l’amour
Ses yeux brillaient
Plus que le jour
Elle était belle,
Je ne veux plus vivre, plus chanter
Si demain elle
N’est pas à moi
Toi mon souci, toi mon envie
Toi qui m’enflamme, deviens ma femme
Prends juste les larmes
Que j’ai versées pour toi
Et sous ton charme,
Elles deviendront des larmes de joie
Reviens à la raison, v’la que tu lui parles
Arrête ta beuverie,
on est dans un bar et pas à l’asile
Laisse-moi, oh mais non, reste un peu
Car c’est elle que v’la à la porte du bar
Oh mon pauvre cœur cesse de trembler, la voilà
Plus belle qu’une fleur et que l’amour
Oh ma pauvre bouche cesse de balbutier
J’t’en prie regarde, la voilà, tout près de moi
Ses yeux m’appellent, ses bras se tendent vers moi
Cette fille est celle que le bon Dieu m’envoie
Ses lèvres sont douces, son corps est chaud
Ses cheveux me chatouillent le cou, elle est à moi
T’es la plus belle, serre moi plus fort
Je veux des baisers jusqu’au petit matin
Ne me quitte plus, je ne rêve pas
On va aller danser tant que la vie est là.
Ta bouche bave et tous les gens te regardent
Comme si t’avais trois têtes...
Je viens, mais ne me gronde pas,
Car je suis las, et triste,
Et la vie m’est fade
Car j’ai l’amour pour la fille de l’autre jour
Elle m’a regardé et j’ai pleuré
Elle m’a souri et puis s’est envolée
Mon cœur s’est brisé seule elle pourrait le réparer
Arrête de rêver, c’est pas toi qu’elle regardait,
On était cent dans la rue,
Tu as du te tromper pauvre fou
Mais je l’aime et je n’y peux rien,
Et je veux boire, et boire pour y penser
Elle était belle
Comme une fleur, comme l’amour
Ses yeux brillaient
Plus que le jour
Elle était belle,
Je ne veux plus vivre, plus chanter
Si demain elle
N’est pas à moi
Toi mon souci, toi mon envie
Toi qui m’enflamme, deviens ma femme
Prends juste les larmes
Que j’ai versées pour toi
Et sous ton charme,
Elles deviendront des larmes de joie
Reviens à la raison, v’la que tu lui parles
Arrête ta beuverie,
on est dans un bar et pas à l’asile
Laisse-moi, oh mais non, reste un peu
Car c’est elle que v’la à la porte du bar
Oh mon pauvre cœur cesse de trembler, la voilà
Plus belle qu’une fleur et que l’amour
Oh ma pauvre bouche cesse de balbutier
J’t’en prie regarde, la voilà, tout près de moi
Ses yeux m’appellent, ses bras se tendent vers moi
Cette fille est celle que le bon Dieu m’envoie
Ses lèvres sont douces, son corps est chaud
Ses cheveux me chatouillent le cou, elle est à moi
T’es la plus belle, serre moi plus fort
Je veux des baisers jusqu’au petit matin
Ne me quitte plus, je ne rêve pas
On va aller danser tant que la vie est là.