Les paroles de la chanson
« Argentine »
Serge Reggiani
Argentine
On s’est connu un premier cri de mai
J’imagine
Que tu ne m’as pas dit que tu m’aimais
Mais, maligne
Tu as dansé devant mes yeux petits
Argentine
Et j’ai compris que tu étais la vie
Mon ennemie
Argentine
La vie multiple et fille du soleil
Libertine
Qui tiens les hommes jusqu’au grand sommeil
Argentine
Tes banderilles de bandonéon
Nous câlinent
Et nous achèvent sur le même ton
A Buenos Aires
Rue du Rosaire
Alfonso vient de naître
Tout petit Dieu
Ouvrant les Yeux
Sur le mirage d’ici-bas
Cet ange blond
J’ai l’impression de le connaître
Il me rallume
Un peu comme une
Musique d’Astor Piazzola
Argentine
La vie tu couches avec le monde entier
Tu domines
Du haut des hauts talons les bas quartiers
Argentine
A la fois la Madone et la putain
Tu nous ruines
Et nous bénis puis tu éclates d’un
Rire argentin
Argentine
Toi qui argentes nos cheveux d’antan
Héroïne
Qui nous invites à sortir du roman
Argentine
On s’aime au jour le jour de nos mémoires
Cabotine
Qui sur mes planches va danser un soir
A Buenos Aires
Près d’un calvaire
Où Dieu n’a pas sa chance
Des jeunes filles
Sous leurs mantilles
Etouffent des rires aux éclats
Sans trop savoir
Que leurs yeux noirs
Me recommencent
Et me rallument
Un peu comme une
Musique d’Astor Piazzola
Argentine,
Argentine.
On s’est connu un premier cri de mai
J’imagine
Que tu ne m’as pas dit que tu m’aimais
Mais, maligne
Tu as dansé devant mes yeux petits
Argentine
Et j’ai compris que tu étais la vie
Mon ennemie
Argentine
La vie multiple et fille du soleil
Libertine
Qui tiens les hommes jusqu’au grand sommeil
Argentine
Tes banderilles de bandonéon
Nous câlinent
Et nous achèvent sur le même ton
A Buenos Aires
Rue du Rosaire
Alfonso vient de naître
Tout petit Dieu
Ouvrant les Yeux
Sur le mirage d’ici-bas
Cet ange blond
J’ai l’impression de le connaître
Il me rallume
Un peu comme une
Musique d’Astor Piazzola
Argentine
La vie tu couches avec le monde entier
Tu domines
Du haut des hauts talons les bas quartiers
Argentine
A la fois la Madone et la putain
Tu nous ruines
Et nous bénis puis tu éclates d’un
Rire argentin
Argentine
Toi qui argentes nos cheveux d’antan
Héroïne
Qui nous invites à sortir du roman
Argentine
On s’aime au jour le jour de nos mémoires
Cabotine
Qui sur mes planches va danser un soir
A Buenos Aires
Près d’un calvaire
Où Dieu n’a pas sa chance
Des jeunes filles
Sous leurs mantilles
Etouffent des rires aux éclats
Sans trop savoir
Que leurs yeux noirs
Me recommencent
Et me rallument
Un peu comme une
Musique d’Astor Piazzola
Argentine,
Argentine.