Les paroles de la chanson
« Appelle quand tu te réveilles »
Renan Luce
Appelle moi quand tu te réveilles
Je suis déjà dehors
J’ai bien suivi ton conseil
Me suis levé à l’aurore
Et c’est vrai que ça a du charme
La ville au p’tit matin
L’air est frais, ça donne des larmes
Qui sont pas du chagrin
Je garde les mains dans les poches
Comme la nuit décline
J’ai cet air dans la caboche
Dauphin de la place Dauphine
Mais tu sais, c’est pas pour rien
Si j’écourte mon sommeil
Je te dirais, si t’y tiens
Appelle quand tu te réveilles
Appelle quand tu te réveilles
Moi ce que j’ai sur le cœur
C’est pas le genre qu’on bégaille sur un répondeur
Appelle quand tu te réveilles
J’pourrais plus me débiner
Quand y’aura ton oreille, sur le combiné
Appelle moi quand tu te réveilles
Maintenant à l’horizon
Y’a une jolie flaque vermeil
Au dessus des maisons
Les quartiers que je franchis
Ont tous leur anecdote
Un manteau de nostalgie
Que le temps détricote
Je sors les mains de mes poches
Pour attraper au vol
Les souvenirs qui ricochent
Du temps d’nos amours folles
Mais tu sais, que même froissé
Au fond d’une corbeille
Je déplierai le passé
Appelle quand tu te réveilles
Appelle quand tu te réveilles
Moi ce que j’ai sur le cœur
C’est pas le genre qu’on bégaille sur un répondeur
Appelle quand tu te réveilles
J’pourrais plus me débiner
Quand y’aura ton oreille sur le combiné
Appelle moi quand tu te réveilles
J’arrive chez ta maman
J’la connais, j’me déconseille
De sonner pour l’moment
C’est là que tu te réfugies
Et ta mère qu’est une lionne
M’accueillerais à coup de fusil
Si elle voit que j’espionne
Du coup, j’me sens un peu con
Roméo de pacotille
Quand je vois à ton balcon
Une lumière qui scintille
J’t’imagine, t’écoutes surement
Ma voix au téléphone
Te dire que j’m’en veux tellement
Appelle quand tu me pardonnes
Appelle quand tu me pardonnes
Moi ce que j’ai sur le cœur
C’est pas le genre qu’on marmonne sur un répondeur
Appelle quand tu me pardonnes
J’pourrais plus me débiner
Quand j’saurais que tu te cramponnes sur le combiné
Je suis déjà dehors
J’ai bien suivi ton conseil
Me suis levé à l’aurore
Et c’est vrai que ça a du charme
La ville au p’tit matin
L’air est frais, ça donne des larmes
Qui sont pas du chagrin
Je garde les mains dans les poches
Comme la nuit décline
J’ai cet air dans la caboche
Dauphin de la place Dauphine
Mais tu sais, c’est pas pour rien
Si j’écourte mon sommeil
Je te dirais, si t’y tiens
Appelle quand tu te réveilles
Appelle quand tu te réveilles
Moi ce que j’ai sur le cœur
C’est pas le genre qu’on bégaille sur un répondeur
Appelle quand tu te réveilles
J’pourrais plus me débiner
Quand y’aura ton oreille, sur le combiné
Appelle moi quand tu te réveilles
Maintenant à l’horizon
Y’a une jolie flaque vermeil
Au dessus des maisons
Les quartiers que je franchis
Ont tous leur anecdote
Un manteau de nostalgie
Que le temps détricote
Je sors les mains de mes poches
Pour attraper au vol
Les souvenirs qui ricochent
Du temps d’nos amours folles
Mais tu sais, que même froissé
Au fond d’une corbeille
Je déplierai le passé
Appelle quand tu te réveilles
Appelle quand tu te réveilles
Moi ce que j’ai sur le cœur
C’est pas le genre qu’on bégaille sur un répondeur
Appelle quand tu te réveilles
J’pourrais plus me débiner
Quand y’aura ton oreille sur le combiné
Appelle moi quand tu te réveilles
J’arrive chez ta maman
J’la connais, j’me déconseille
De sonner pour l’moment
C’est là que tu te réfugies
Et ta mère qu’est une lionne
M’accueillerais à coup de fusil
Si elle voit que j’espionne
Du coup, j’me sens un peu con
Roméo de pacotille
Quand je vois à ton balcon
Une lumière qui scintille
J’t’imagine, t’écoutes surement
Ma voix au téléphone
Te dire que j’m’en veux tellement
Appelle quand tu me pardonnes
Appelle quand tu me pardonnes
Moi ce que j’ai sur le cœur
C’est pas le genre qu’on marmonne sur un répondeur
Appelle quand tu me pardonnes
J’pourrais plus me débiner
Quand j’saurais que tu te cramponnes sur le combiné