Les paroles de la chanson
« Apocalypticodramatic »
Tryo
{Refrain:}
Apporte-moi mes cachets
Serre bien ma camisole
Accèle encore le son de ta voix
Ma techno-délire psychédélique
Apocalyptico-dramatique...
Sirènes obsédantes
Métal hurlant, plastique qui résonne
Aux arcades d’acier de l’oreille
Entartrée par ton ouïe déficiente
Des éclairs choppent tes yeux au hasard
Les lasers t’étranglent et t’enfoncent leurs dards
Cette nuit sucera ma sève
Moi je m’en fiche, je "rave"
{au Refrain}
C’est le grand rassemblement
C’est la fête ou la teuf des Grands
Aux yeux écarquillés, aux pupilles dilatées
Et aux cœurs dressés
Par le battement de coeur
Qu’elle te prend sans savoir
Ton pauvre coeur qui n’en peut plus
De ne plus pouvoir respirer
Eh toi p’tit con!
Qu’est-ce que tu fais là?
Dis-moi p’tit con
Tu viens franchir le pas?
Mais t’ignores le parfum
Enivrant, obsédant
Qui te couvre d’ivresse
Te transforme en détresse
Et peut faire de ta soirée
Comme une éternité à crier
{au Refrain}
Mais au nom de la vie d’ces quelques uns
Qui sont restés bloqués sur ton drôle de chemin
Au nom de mon ami malade
Qui hurle au fin fond d’son hôpital
{au Refrain}
Apporte-moi mes cachets
Serre bien ma camisole
Accèle encore le son de ta voix
Ma techno-délire psychédélique
Apocalyptico-dramatique...
Sirènes obsédantes
Métal hurlant, plastique qui résonne
Aux arcades d’acier de l’oreille
Entartrée par ton ouïe déficiente
Des éclairs choppent tes yeux au hasard
Les lasers t’étranglent et t’enfoncent leurs dards
Cette nuit sucera ma sève
Moi je m’en fiche, je "rave"
{au Refrain}
C’est le grand rassemblement
C’est la fête ou la teuf des Grands
Aux yeux écarquillés, aux pupilles dilatées
Et aux cœurs dressés
Par le battement de coeur
Qu’elle te prend sans savoir
Ton pauvre coeur qui n’en peut plus
De ne plus pouvoir respirer
Eh toi p’tit con!
Qu’est-ce que tu fais là?
Dis-moi p’tit con
Tu viens franchir le pas?
Mais t’ignores le parfum
Enivrant, obsédant
Qui te couvre d’ivresse
Te transforme en détresse
Et peut faire de ta soirée
Comme une éternité à crier
{au Refrain}
Mais au nom de la vie d’ces quelques uns
Qui sont restés bloqués sur ton drôle de chemin
Au nom de mon ami malade
Qui hurle au fin fond d’son hôpital
{au Refrain}