Les paroles de la chanson
« Antonio »
Mes Aïeux
Sous terre, sur la ligne orange
Ya un géant qui dérange
Qui dérange
C’est un pachyderme étrange
Quand il se lève, la terre tremble
Il porte sur son dos le poids
de sa légende
De sa légende
Sous la terre, station Beaubien
Les gens font semblant de rien, Semblant de rien
Font comme s’ils ne voyaient pas
Qu’une épave s’est échouée là
Amarrée au passé
par ses lourdes tresses
Ah, quelle tristesse!
[REFRAIN:]
Le grand Antonio
Antonio Barichievich
Barichievich
Fortissimo comme dix chevaux
Star de Tokyo à Gatineau
Want my photo?
Give me some dought
not
Sur la terre, v’’là des années
On l’a vu à la télé
À la télé
En des jours bien plus heureux
Il excitait les curieux
En tirant des autobus
avec ses cheveux
Avec ses cheveux
Mais l’homme le plus fort sur terre
A sombré dans la misère
Dans la misère
Le jour où sa petite fleur
A brisé son trop grand coeur
En lui disant «je te laisse»,
oh, quelle douleur!
Pour un lutteur
[REFRAIN]
Une peine d’amour
plus lourde encore
Que la somme de tous ses records
C’est beaucoup trop d’efforts
Antonio a eu si mal
Que sa force monumentale
N’est devenue au final
qu’un souvenir de carte postale
Triste final, triste final
À la sortie d’une épicerie
C’est là qu’il a fini sa vie
À l’écart, sur un petit banc
Pour ne pas déranger les clients
Personne pour se rendre compte
qu’il était mort depuis longtemps
Pauvre petit géant
Parti pour le grand voyage
Sans honneurs, sans bagages
Beau dommage!
Mais au salon, malgré la mort
Il souleva la foule encore
Trois mille personnes à bout de bras
une dernière fois
Ah, quel exploit!
Pour atteindre la célébrité
Trop souvent seul et méprisé
Ce fut cher payé
Salut à toi, Antonio
Moitié clochard, moitié héros
À jamais plus grand que nature
C’est sûr
Les légendes ont la vie dure
Do videnja!
[REFRAIN x2]
Ya un géant qui dérange
Qui dérange
C’est un pachyderme étrange
Quand il se lève, la terre tremble
Il porte sur son dos le poids
de sa légende
De sa légende
Sous la terre, station Beaubien
Les gens font semblant de rien, Semblant de rien
Font comme s’ils ne voyaient pas
Qu’une épave s’est échouée là
Amarrée au passé
par ses lourdes tresses
Ah, quelle tristesse!
[REFRAIN:]
Le grand Antonio
Antonio Barichievich
Barichievich
Fortissimo comme dix chevaux
Star de Tokyo à Gatineau
Want my photo?
Give me some dought
not
Sur la terre, v’’là des années
On l’a vu à la télé
À la télé
En des jours bien plus heureux
Il excitait les curieux
En tirant des autobus
avec ses cheveux
Avec ses cheveux
Mais l’homme le plus fort sur terre
A sombré dans la misère
Dans la misère
Le jour où sa petite fleur
A brisé son trop grand coeur
En lui disant «je te laisse»,
oh, quelle douleur!
Pour un lutteur
[REFRAIN]
Une peine d’amour
plus lourde encore
Que la somme de tous ses records
C’est beaucoup trop d’efforts
Antonio a eu si mal
Que sa force monumentale
N’est devenue au final
qu’un souvenir de carte postale
Triste final, triste final
À la sortie d’une épicerie
C’est là qu’il a fini sa vie
À l’écart, sur un petit banc
Pour ne pas déranger les clients
Personne pour se rendre compte
qu’il était mort depuis longtemps
Pauvre petit géant
Parti pour le grand voyage
Sans honneurs, sans bagages
Beau dommage!
Mais au salon, malgré la mort
Il souleva la foule encore
Trois mille personnes à bout de bras
une dernière fois
Ah, quel exploit!
Pour atteindre la célébrité
Trop souvent seul et méprisé
Ce fut cher payé
Salut à toi, Antonio
Moitié clochard, moitié héros
À jamais plus grand que nature
C’est sûr
Les légendes ont la vie dure
Do videnja!
[REFRAIN x2]