Les paroles de la chanson
« Anne »
Nino Ferrer
Anne a la peau mauve et bleue
Ses yeux sont clairs et lumineux
Sauf à certains moments
Quand ils sont amoureux
Et qu’ils deviennent profonds
Comme la mer aux Antilles
Avec de l’or et du vert
Et quelque chose qui brille
Et de toucher sa main
C’est comme un bain de soleil.
Ton nom, c’est comme une caresse
Ton nom, c’est comme un cri
C’est le son qui vient à la bouche
Quand j’ai mal et quand je jouis.
Je n’ai plus d’herbe et je suis là
Dans une tranquille chambre d’hôtel
En attendant qu’on me fasse signe
Quand on aura besoin de moi
Et je ne peux que penser à elle
Où est-ce qu’elle peut être et que fait-elle?
Et les mots qu’elle a dits, c’était vrai?
Et les bagnoles sur l’autoroute
Je les vois passer de ma fenêtre
Comme je regarde passer la vie
Et je me sens comme en déroute.
Je me souviens de Mainguerin
Et du grand lit de tes parents
Quand nous y avons dormi dedans
C’était une nuit de printemps
Et je t’imagine souvent
Une main sur ton ventre blanc
Et le parfum de tes cheveux
Qui sentent le miel et le feu
Ils sentent le miel d’acacia
Et je ne m’en rassasie pas.
Ton nom, c’est comme une caresse
Ton nom, c’est comme un cri
C’est le son qui vient à la bouche
Quand j’ai mal et quand je jouis.
Ses yeux sont clairs et lumineux
Sauf à certains moments
Quand ils sont amoureux
Et qu’ils deviennent profonds
Comme la mer aux Antilles
Avec de l’or et du vert
Et quelque chose qui brille
Et de toucher sa main
C’est comme un bain de soleil.
Ton nom, c’est comme une caresse
Ton nom, c’est comme un cri
C’est le son qui vient à la bouche
Quand j’ai mal et quand je jouis.
Je n’ai plus d’herbe et je suis là
Dans une tranquille chambre d’hôtel
En attendant qu’on me fasse signe
Quand on aura besoin de moi
Et je ne peux que penser à elle
Où est-ce qu’elle peut être et que fait-elle?
Et les mots qu’elle a dits, c’était vrai?
Et les bagnoles sur l’autoroute
Je les vois passer de ma fenêtre
Comme je regarde passer la vie
Et je me sens comme en déroute.
Je me souviens de Mainguerin
Et du grand lit de tes parents
Quand nous y avons dormi dedans
C’était une nuit de printemps
Et je t’imagine souvent
Une main sur ton ventre blanc
Et le parfum de tes cheveux
Qui sentent le miel et le feu
Ils sentent le miel d’acacia
Et je ne m’en rassasie pas.
Ton nom, c’est comme une caresse
Ton nom, c’est comme un cri
C’est le son qui vient à la bouche
Quand j’ai mal et quand je jouis.