Les paroles de la chanson
« Anima »
Isabelle Mayereau
Tu danses comme les lucioles
Jusqu’à la première heure du jour
Et tu attends qu’le sol-
-Eil se lève sur les tours
Pour t’endormir
Tu dis des mots crus à peine
Qui roulent bien dans ta bouche
Des mots qui me gênent
Des choses qui me touchent
Pour le plaisir
Tu dis qu’le temps est court
Et qu’il faut pas le laisser
Faire des ronds, des demi-tours
Mais toujours le provoquer
Pour tenir
Tu dis qu’il faut se taire
Et ne jamais dévoiler
Les orages, les éclairs
Qui nous ont fragilisés
Retenir
Tu avances à pas de loup
Rien ne peut te stopper
Le passé, tu t’en fous
Il n’est là que pour freiner
Nous ralentir
Tu marches sur des coussins d’air
Et tu as l’air léger
Il y a comme un mystère
Que j’arrive pas à percer
À éclaircir
Tu danses comme les lucioles
Jusqu’à la première heure du jour
Et tu attends qu’le sol-
-Eil se lève sur les tours
Pour t’endormir
Jusqu’à la première heure du jour
Et tu attends qu’le sol-
-Eil se lève sur les tours
Pour t’endormir
Tu dis des mots crus à peine
Qui roulent bien dans ta bouche
Des mots qui me gênent
Des choses qui me touchent
Pour le plaisir
Tu dis qu’le temps est court
Et qu’il faut pas le laisser
Faire des ronds, des demi-tours
Mais toujours le provoquer
Pour tenir
Tu dis qu’il faut se taire
Et ne jamais dévoiler
Les orages, les éclairs
Qui nous ont fragilisés
Retenir
Tu avances à pas de loup
Rien ne peut te stopper
Le passé, tu t’en fous
Il n’est là que pour freiner
Nous ralentir
Tu marches sur des coussins d’air
Et tu as l’air léger
Il y a comme un mystère
Que j’arrive pas à percer
À éclaircir
Tu danses comme les lucioles
Jusqu’à la première heure du jour
Et tu attends qu’le sol-
-Eil se lève sur les tours
Pour t’endormir