Les paroles de la chanson
« Amour amour »
Philippe Forcioli
Or tout ce temps qui passe et nous allons plus loin
En ce mal souverain cherchant l’amour à la trace
Nous le pistons des lunes et des heures au logis
Puis le trouvons fleuri, ruisseau courant dans les dunes
Hier, j’étais exsangue, cassé, maudissant mon temps
Mes chaînes et mes tourments et tous mes défauts de langue
Me voici dans la page, au cœur de ton cœur d’oiseau
Flûte dans les roseaux, sifflotant dedans ma cage
{Refrain:}
Amour, amour nouveau-né, mes vieux souliers
Mot suranné par l’usage, pâquerette du sentier
Secret trésor, lampe dans la nuit des pauvres
Larme effeuillée des pluies d’or
Ride riant au visage, j’aimerai jusqu’à la mort
Petit, je sentais l’ange, mains jointes sur des photos
N’avais pas besoin des mots pour téter le philtre étrange
La grâce est une étoile au front de tous les enfants
Trois fois rien de brin de vent font claquer cent mille voiles
Depuis ce feu de fête dans la joie ou la douleur
Qu’il fût de corps ou de cœur, c’est la cible de ma quête
Et je ne sais la vie qu’en ce miracle épanoui
Eau sans cesse au fond du puits, belle bleue, feu d’artifice
{au Refrain}
Que j’en appelle à l’Homme, à la Femme ou bien à Dieu
À tous les jeunes, les vieux, au serpent ou à la pomme
Toutes routes vers Rome, tous les chemins d’écoliers
À ta suite font collier, chaque brin d’herbe te nomme
Aimant et admirable, insaisissable et donné
Juste à la pointe du nez, de la plume ou de la lame
Tu es la girouette à la cible de tous chants
Tous les soleils t’approchant, tu les tiens dans ta musette
{au Refrain}
Et tout ce temps qui passe et nous allons plus loin
En ce monde incertain, cherchant l’amour à la trace
Nous prions sa fortune dans la cellule de nous
Puis le trouvons à genoux au reflet de l’un, de l’une
Jamais tu n’abandonnes celui qui te tient la main
Et qui se risque, orphelin, dans la forêt des personnes
Et plus la flamme brille et plus le feu crie son droit
L’univers est trop étroit, tout le cerveau s’écarquille
Amour, amour
Secret trésor
Larme effeuillée des pluies d’or
J’aimerai...
En ce mal souverain cherchant l’amour à la trace
Nous le pistons des lunes et des heures au logis
Puis le trouvons fleuri, ruisseau courant dans les dunes
Hier, j’étais exsangue, cassé, maudissant mon temps
Mes chaînes et mes tourments et tous mes défauts de langue
Me voici dans la page, au cœur de ton cœur d’oiseau
Flûte dans les roseaux, sifflotant dedans ma cage
{Refrain:}
Amour, amour nouveau-né, mes vieux souliers
Mot suranné par l’usage, pâquerette du sentier
Secret trésor, lampe dans la nuit des pauvres
Larme effeuillée des pluies d’or
Ride riant au visage, j’aimerai jusqu’à la mort
Petit, je sentais l’ange, mains jointes sur des photos
N’avais pas besoin des mots pour téter le philtre étrange
La grâce est une étoile au front de tous les enfants
Trois fois rien de brin de vent font claquer cent mille voiles
Depuis ce feu de fête dans la joie ou la douleur
Qu’il fût de corps ou de cœur, c’est la cible de ma quête
Et je ne sais la vie qu’en ce miracle épanoui
Eau sans cesse au fond du puits, belle bleue, feu d’artifice
{au Refrain}
Que j’en appelle à l’Homme, à la Femme ou bien à Dieu
À tous les jeunes, les vieux, au serpent ou à la pomme
Toutes routes vers Rome, tous les chemins d’écoliers
À ta suite font collier, chaque brin d’herbe te nomme
Aimant et admirable, insaisissable et donné
Juste à la pointe du nez, de la plume ou de la lame
Tu es la girouette à la cible de tous chants
Tous les soleils t’approchant, tu les tiens dans ta musette
{au Refrain}
Et tout ce temps qui passe et nous allons plus loin
En ce monde incertain, cherchant l’amour à la trace
Nous prions sa fortune dans la cellule de nous
Puis le trouvons à genoux au reflet de l’un, de l’une
Jamais tu n’abandonnes celui qui te tient la main
Et qui se risque, orphelin, dans la forêt des personnes
Et plus la flamme brille et plus le feu crie son droit
L’univers est trop étroit, tout le cerveau s’écarquille
Amour, amour
Secret trésor
Larme effeuillée des pluies d’or
J’aimerai...
