Les paroles de la chanson
« Alerte »
Nuttea
Refrain (x2)
Oh yoy alerte à la télévision, oh yoy la réalité dépasse la fiction
Oh yoy tâchons d’éviter toute confusion, tu marches dans ma rue,
c’est mieux qu’un film d’action
Daddy Nuttea
Ecoute l’histoire du jeune qu’on appelle Endy
Situation classique, il habite Marseille ou Vitry
Tout le monde dit qu’il a quelque chose en lui
Qui vous dit "j’suis taré alors me faites pas d’ennuis"
Tous ça est bien banal mais sous l’effet de certains produits
Il visionne Scarface et puis s’identifie
Heya hey, c’est la panique dans la téci
Al Pacino a sorti son fusil
Si t’as vus la fin du film tu sais comment ça finit
Fayabo, le cimetière ou la sonpri
Et puis adieu la vie
Again, again, again again again
Refrain (x2)
Trop de flics nous cassent les couilles,
certains nous disent, ça c’est classique :
"Tu joues les jeunes rebelles comme d’autres jouent les romantiques"
T’arrives dans mon quartier, on s’fait arrêter par les flics
Ils te fouillent et sur toi trouvent une barrette de mastic
Moi j’suis black, dread, et j’habite le coin critique
Les tutoiements commencent, tu réponds et pop tu t’prends une gifle
C’est pour t’mettre dans l’ambiance, si t’es pas contents c’est l’même tarif
La police combat la violence mais le problème c’est qu’elle la pratique
Refrain (x2)
Daddy Mory
Ouay t’es piégé, tu regardes trop la télé
Quand tu as un gun dans la main, à côté de toi il faut pas rester
Tony Montana est fonçdé, t’es capables de tuer ton refré
Mais si un moyen nous test man, il est mort avant d’être né
Et tu sors ton Baretta, tu t’en fout des colboloboque man
Tu tires dans l’tas, tu t’avises dans la rue comme dans ton petit chez toi
Tu vas jamais en arrière, toujours de l’avant c’est comme ça
Ouay tu assassines, je sais que t’aimes les histoires, les histoires sanguines
T’es jamais en galère, ton gun est toujours fourré dans le magazine
De voir ton ennemi mourir, c’est ça qui te fascines
Y’en a pour qui la vie n’a laissée n’a laissée aucun répit
Ouay t’es piégé, tu regardes trop la télé
Quand tu as un gun dans la main, à côté de toi il faut pas rester
Tony Montana est fonçdé, t’es capables de tuer ton refré
Mais si un moyen nous test man, il est mort avant d’être né
Refrain (x2)
Akhenaton
Il est des jets de salive cathodiques pas catholiques, chaotiques
Me filer des douleurs spasmodiques
Juré je n’actionnerais pas le magnétoscope
Mais c’est un vice qui chope mes neurones et développe des cauchemars
Dans ma tête bizarre
Visage au teint blafard, psychopathe fondu au noir
La lumière du poste illumine la pièce
Véritable danger, génère une imagerie perturbé
Degré d’élévation, marche vers la confusion
La tension face à l’excavation de mes impressions
Ecroulé, dans mes rétines ont déboulés
Floué par la réalité, je suis un meurtrier potentiel refoulé
Puise l’inspiration dans l’image
Ce qu’il y a de bien dans ma vie n’est qu’un mirage
Un passage, de l’homme à l’âme un transfert d’atome
J’arpente le macadam pendant des heures de la ville fantôme
Je déambule avec assurance, mais mon coeur bat si fort
Je meurt de peur, pétrifié par la terreur
Alors je serre mon Beretta, prêt à exploser le premier gars qui ne me respecte pas
Je n’ai pas été élevé avec les armes mais très tôt
J’ai su qu’il faut ce qu’il faut pour être un héros
Je tourne à droite, 8, 10, 12 un peu plus loin
Ah, voici la maternelle où je rentrerais demain
Oh yoy alerte à la télévision, oh yoy la réalité dépasse la fiction
Oh yoy tâchons d’éviter toute confusion, tu marches dans ma rue,
c’est mieux qu’un film d’action
Daddy Nuttea
Ecoute l’histoire du jeune qu’on appelle Endy
Situation classique, il habite Marseille ou Vitry
Tout le monde dit qu’il a quelque chose en lui
Qui vous dit "j’suis taré alors me faites pas d’ennuis"
Tous ça est bien banal mais sous l’effet de certains produits
Il visionne Scarface et puis s’identifie
Heya hey, c’est la panique dans la téci
Al Pacino a sorti son fusil
Si t’as vus la fin du film tu sais comment ça finit
Fayabo, le cimetière ou la sonpri
Et puis adieu la vie
Again, again, again again again
Refrain (x2)
Trop de flics nous cassent les couilles,
certains nous disent, ça c’est classique :
"Tu joues les jeunes rebelles comme d’autres jouent les romantiques"
T’arrives dans mon quartier, on s’fait arrêter par les flics
Ils te fouillent et sur toi trouvent une barrette de mastic
Moi j’suis black, dread, et j’habite le coin critique
Les tutoiements commencent, tu réponds et pop tu t’prends une gifle
C’est pour t’mettre dans l’ambiance, si t’es pas contents c’est l’même tarif
La police combat la violence mais le problème c’est qu’elle la pratique
Refrain (x2)
Daddy Mory
Ouay t’es piégé, tu regardes trop la télé
Quand tu as un gun dans la main, à côté de toi il faut pas rester
Tony Montana est fonçdé, t’es capables de tuer ton refré
Mais si un moyen nous test man, il est mort avant d’être né
Et tu sors ton Baretta, tu t’en fout des colboloboque man
Tu tires dans l’tas, tu t’avises dans la rue comme dans ton petit chez toi
Tu vas jamais en arrière, toujours de l’avant c’est comme ça
Ouay tu assassines, je sais que t’aimes les histoires, les histoires sanguines
T’es jamais en galère, ton gun est toujours fourré dans le magazine
De voir ton ennemi mourir, c’est ça qui te fascines
Y’en a pour qui la vie n’a laissée n’a laissée aucun répit
Ouay t’es piégé, tu regardes trop la télé
Quand tu as un gun dans la main, à côté de toi il faut pas rester
Tony Montana est fonçdé, t’es capables de tuer ton refré
Mais si un moyen nous test man, il est mort avant d’être né
Refrain (x2)
Akhenaton
Il est des jets de salive cathodiques pas catholiques, chaotiques
Me filer des douleurs spasmodiques
Juré je n’actionnerais pas le magnétoscope
Mais c’est un vice qui chope mes neurones et développe des cauchemars
Dans ma tête bizarre
Visage au teint blafard, psychopathe fondu au noir
La lumière du poste illumine la pièce
Véritable danger, génère une imagerie perturbé
Degré d’élévation, marche vers la confusion
La tension face à l’excavation de mes impressions
Ecroulé, dans mes rétines ont déboulés
Floué par la réalité, je suis un meurtrier potentiel refoulé
Puise l’inspiration dans l’image
Ce qu’il y a de bien dans ma vie n’est qu’un mirage
Un passage, de l’homme à l’âme un transfert d’atome
J’arpente le macadam pendant des heures de la ville fantôme
Je déambule avec assurance, mais mon coeur bat si fort
Je meurt de peur, pétrifié par la terreur
Alors je serre mon Beretta, prêt à exploser le premier gars qui ne me respecte pas
Je n’ai pas été élevé avec les armes mais très tôt
J’ai su qu’il faut ce qu’il faut pour être un héros
Je tourne à droite, 8, 10, 12 un peu plus loin
Ah, voici la maternelle où je rentrerais demain