Les paroles de la chanson
« Ai-je vraiment le mal de toi ? »
Mannick
Ai-je vraiment le mal de toi
Ou d’habitude, d’habitude
Au point que je ne passe pas
Plus de trois jours de solitude
Sans attraper le mal de toi
Qui me dira si c’est l’amour
Avec son lot de représailles
Ecartelée depuis toujours
Au lit de mon champ de batailles
Me diras-tu si c’est l’amour
Qui vient cogner dans ma poitrine
Avec ses ailes de vautour
Sur ma tendresse d’opaline
Tu te dépêches d’être là
Mais j’ai le cœur en marmelade
Quand ton regard ne parle pas
Et qu’un semblant de barricades
Vient se dresser devant mes bras
Qui me dira si c’est l’amour
Relent sauvage à mon haleine
Quand il a mordu mes velours
Avec ses dents de porcelaine
Me diras-tu si c’est l’amour
Qui me rend douce à ton étreinte
Et m’ensorcelle à petit jour
A petit feu dans une plainte
Laisse mon cœur il se taira
Tu ne saurais pas le comprendre
Laisse, les mots ne parlent pas
J’ai trop de silences à défendre
Pour me mentir une autre fois
Qui me dira si c’est l’amour
Avec son torrent de promesses
Et cette étoile à contre-jour
Dans les trop-pleins de ma tristesse
Me diras-tu si c’est l’amour
Qui prend les armes dans ma tête
Et vient les rendre sans discours
Dès que tu m’offres un coin de fête
Ou d’habitude, d’habitude
Au point que je ne passe pas
Plus de trois jours de solitude
Sans attraper le mal de toi
Qui me dira si c’est l’amour
Avec son lot de représailles
Ecartelée depuis toujours
Au lit de mon champ de batailles
Me diras-tu si c’est l’amour
Qui vient cogner dans ma poitrine
Avec ses ailes de vautour
Sur ma tendresse d’opaline
Tu te dépêches d’être là
Mais j’ai le cœur en marmelade
Quand ton regard ne parle pas
Et qu’un semblant de barricades
Vient se dresser devant mes bras
Qui me dira si c’est l’amour
Relent sauvage à mon haleine
Quand il a mordu mes velours
Avec ses dents de porcelaine
Me diras-tu si c’est l’amour
Qui me rend douce à ton étreinte
Et m’ensorcelle à petit jour
A petit feu dans une plainte
Laisse mon cœur il se taira
Tu ne saurais pas le comprendre
Laisse, les mots ne parlent pas
J’ai trop de silences à défendre
Pour me mentir une autre fois
Qui me dira si c’est l’amour
Avec son torrent de promesses
Et cette étoile à contre-jour
Dans les trop-pleins de ma tristesse
Me diras-tu si c’est l’amour
Qui prend les armes dans ma tête
Et vient les rendre sans discours
Dès que tu m’offres un coin de fête