Les paroles de la chanson
« Adieu nos espérances »
Claude Besson
Adieu nos Espérances
REFRAIN
Adieu nos espérances
Adieu sourire d’enfant
Adieu nos espérances
Adieu sourire d’enfant
COUPLET 1
D’Arménie en Chili
D’Argentine en Birmanie
Ce monde-là n’est que désespérance
Elles étaient toute vie
Les filles de Varsovie
Paraît que l’homme progresse et avance.
REFRAIN
COUPLET 2
A peine s’ils sont mûrs
N’ayant pas encore d’armure
Ce monde-là n’est que désespérance
On arrache leur fourrure
Incomparable parure
Paraît que l’homme progresse et avance
REFRAIN
COUPLET 3
Dans l’arène sous les cris
Un taureau pleure et s’écrie
Ce monde-là n’est que désespérance
Devant cette tragédie
Les puristes sont séduits
Paraît que l’homme progresse et avance
REFRAIN
COUPLET 4
Certains partent en guerre
D’autres soignent le cancer
Ce monde-là n’est que désespérance
Les tortionnaires naguère
Rougiraient de nos manières
Paraît que l’homme progresse et avance.
REFRAIN
COUPLET 5
Les historiens babas
Ecriront dans leurs sagas
Ce monde n’était que désespérance
Bien malin qui trouv’ra
De l’amour dans nos gravats
Paraît que l’homme progresse et avance.
REFRAIN
REFRAIN
Adieu nos espérances
Adieu sourire d’enfant
Adieu nos espérances
Adieu sourire d’enfant
COUPLET 1
D’Arménie en Chili
D’Argentine en Birmanie
Ce monde-là n’est que désespérance
Elles étaient toute vie
Les filles de Varsovie
Paraît que l’homme progresse et avance.
REFRAIN
COUPLET 2
A peine s’ils sont mûrs
N’ayant pas encore d’armure
Ce monde-là n’est que désespérance
On arrache leur fourrure
Incomparable parure
Paraît que l’homme progresse et avance
REFRAIN
COUPLET 3
Dans l’arène sous les cris
Un taureau pleure et s’écrie
Ce monde-là n’est que désespérance
Devant cette tragédie
Les puristes sont séduits
Paraît que l’homme progresse et avance
REFRAIN
COUPLET 4
Certains partent en guerre
D’autres soignent le cancer
Ce monde-là n’est que désespérance
Les tortionnaires naguère
Rougiraient de nos manières
Paraît que l’homme progresse et avance.
REFRAIN
COUPLET 5
Les historiens babas
Ecriront dans leurs sagas
Ce monde n’était que désespérance
Bien malin qui trouv’ra
De l’amour dans nos gravats
Paraît que l’homme progresse et avance.
REFRAIN