Les paroles de la chanson
« A toutes les mères »
Kery James
[Refrain] :
A toutes les mères qui ne trouvent pas en leur fils
La gratitude pour tous leurs sacrifices
A toutes les sœurs qui malgré elles subissent
La rue et ses peurs qui laissent des cicatrices
J’vous raconte pas la rue et ses vices
Mais la souffrance d’une mère sans son fils
Près du cœur, loin du regard
Les mots rapprochent même si la distance sépare
Impulsion, arrestation perquisition, incarcération
[Refrain]
Toutes ses pensées s’enrôlent vers son fils
Visage fermé elle est si triste
Et les joies sont tellement rares sous son toit
Car il y a des absences qu’on ne remplace pas
Déception, désillusion, incompréhension
[Refrain]
A toutes les mères qui ont supporté la difficulté des parloirs
Sur qui tous ces hommes peuvent compter, leur dernier espoir
Il ne leur reste que leur famille
Quand dans la solitude leur cœur vacille
Visite, courrier et mandats
La rue déserte les siens sont là
A toutes les femmes,
[Refrain] x2
A toutes les mères qui ont supporté la douleur des parloirs
Sur qui tous ces hommes peuvent compter pour leur donner de l’espoir
A toutes les mères qui ne trouvent pas en leur fils
La gratitude pour tous leurs sacrifices
A toutes les sœurs qui malgré elles subissent
La rue et ses peurs qui laissent des cicatrices
J’vous raconte pas la rue et ses vices
Mais la souffrance d’une mère sans son fils
Près du cœur, loin du regard
Les mots rapprochent même si la distance sépare
Impulsion, arrestation perquisition, incarcération
[Refrain]
Toutes ses pensées s’enrôlent vers son fils
Visage fermé elle est si triste
Et les joies sont tellement rares sous son toit
Car il y a des absences qu’on ne remplace pas
Déception, désillusion, incompréhension
[Refrain]
A toutes les mères qui ont supporté la difficulté des parloirs
Sur qui tous ces hommes peuvent compter, leur dernier espoir
Il ne leur reste que leur famille
Quand dans la solitude leur cœur vacille
Visite, courrier et mandats
La rue déserte les siens sont là
A toutes les femmes,
[Refrain] x2
A toutes les mères qui ont supporté la douleur des parloirs
Sur qui tous ces hommes peuvent compter pour leur donner de l’espoir