Les paroles de la chanson
« À toutes les fois »
Beau Dommage
A toutes les fois qu’à vient pour faire son tour
A toutes les fois qu’à vient sêner dans l’bout
La face te tombe à terre, tu t’intéresses au fond ton verre
On peut t’parler, tu nous écoutes pus pantoute
Tu la r’garde aller d’une table à l’autre
A toutes les fois qu’à vient pis à vient souvent
Tu vieillis de dix ans en la r’gardant
Fait des yeux le tour d’la salle pour se trouver quelqu’un ce soir
Comme à t’avait trouvé y a un an de t’ça
Pis qu’à t’avait gardé pour deux ou trois mois
Dans vie t’avais jamais perdu la face
Mais là te finit par te trouver quelqu’un pour te niaiser
Mais là t’a fini par te trouver quelqu’un de plus toff que toé
Quelqu’un pour te laisser tomber
Ça fait pas vingt minutes qu’in t’arriver
Que tu d’mandes l’heure qu’il est, pis tu dis qu’y est tard
Tu dis que tu travailles demain, que tu t’lèves au petit matin
Pis tu trouves qu’c’est donc rendue platte icitte
De toute façon y a pu grand-chose qu’y t’excite
Tu sors dans la rue yé onze heures moins quart
Tu sais pu ou aller, quoi faire de ton corps
Tu sais que tu travailles demain, que tu t’lèves au petit matin
Mais ça prend jusqu’à trois heures pour t’endormir
Pour te convaincre que tout est mieux d’même
Dans vie t’avais jamais perdu la face
Mais là te finit par te trouver quelqu’un pour te niaiser
Mais là t’a fini par te trouver quelqu’un de plus toff que toé
Quelqu’un pour te laisser tomber
Dans vie t’avais jamais perdu la face
Mais là te finit par te trouver quelqu’un pour te niaiser
Mais là t’a fini par te trouver quelqu’un de plus toff que toé
Mais à l’a peut-être exagérée
Mais à l’a peut-être exagérée
A toutes les fois qu’à vient sêner dans l’bout
La face te tombe à terre, tu t’intéresses au fond ton verre
On peut t’parler, tu nous écoutes pus pantoute
Tu la r’garde aller d’une table à l’autre
A toutes les fois qu’à vient pis à vient souvent
Tu vieillis de dix ans en la r’gardant
Fait des yeux le tour d’la salle pour se trouver quelqu’un ce soir
Comme à t’avait trouvé y a un an de t’ça
Pis qu’à t’avait gardé pour deux ou trois mois
Dans vie t’avais jamais perdu la face
Mais là te finit par te trouver quelqu’un pour te niaiser
Mais là t’a fini par te trouver quelqu’un de plus toff que toé
Quelqu’un pour te laisser tomber
Ça fait pas vingt minutes qu’in t’arriver
Que tu d’mandes l’heure qu’il est, pis tu dis qu’y est tard
Tu dis que tu travailles demain, que tu t’lèves au petit matin
Pis tu trouves qu’c’est donc rendue platte icitte
De toute façon y a pu grand-chose qu’y t’excite
Tu sors dans la rue yé onze heures moins quart
Tu sais pu ou aller, quoi faire de ton corps
Tu sais que tu travailles demain, que tu t’lèves au petit matin
Mais ça prend jusqu’à trois heures pour t’endormir
Pour te convaincre que tout est mieux d’même
Dans vie t’avais jamais perdu la face
Mais là te finit par te trouver quelqu’un pour te niaiser
Mais là t’a fini par te trouver quelqu’un de plus toff que toé
Quelqu’un pour te laisser tomber
Dans vie t’avais jamais perdu la face
Mais là te finit par te trouver quelqu’un pour te niaiser
Mais là t’a fini par te trouver quelqu’un de plus toff que toé
Mais à l’a peut-être exagérée
Mais à l’a peut-être exagérée