Les paroles de la chanson
« A pierre louki »
Philippe Forcioli
Il aime les ânes, tous les ânes
Parce qu’il aime les chevaux
Et pour lui, l’âne est un cheval
Qui n’a pas réussi
Cette musique, ces paroles
Comme elles sont tendres
Comme elles sont drôles
Et j’aime à me les répéter
Quand c’est l’hiver en mon été
Il aime les ânes, tous les ânes
Parce qu’il aime les chevaux
À l’écheveau de ce poème
Il est un tisserand que j’aime
Un drôle d’oiseau dans l’altitude
Un doux Pierrot en son étude
Et si l’on vous demande qui
Vous direz "Mais c’est Pierre Louki!"
L’en a écrit tant de bafouilles
Et c’est de l’huile quand la vie rouille
Et pour l’oreillette du cœur
C’est pas méchant
C’est bon, moqueur
Il aime les ânes, tous les ânes
Parce qu’il aime les chevaux
Et pour lui, l’âne était cheval
Au temps d’un paradis
Tout de bonté et d’innocence
Du malicieux esprit d’enfance
Dans des chansons, dans des histoires
Juste avant de dire bonsoir
La vie va si vite, si vite
Au grand galop nous précipite
Au feu, grillons, petits sabots
Le pas, le trot et les grelots
Il aime les ânes
Il aime les ânes, tous les ânes
Même s’il hihane, il réfléchit
Les ânes l’aiment
Et moi aussi
Parce qu’il aime les chevaux
Et pour lui, l’âne est un cheval
Qui n’a pas réussi
Cette musique, ces paroles
Comme elles sont tendres
Comme elles sont drôles
Et j’aime à me les répéter
Quand c’est l’hiver en mon été
Il aime les ânes, tous les ânes
Parce qu’il aime les chevaux
À l’écheveau de ce poème
Il est un tisserand que j’aime
Un drôle d’oiseau dans l’altitude
Un doux Pierrot en son étude
Et si l’on vous demande qui
Vous direz "Mais c’est Pierre Louki!"
L’en a écrit tant de bafouilles
Et c’est de l’huile quand la vie rouille
Et pour l’oreillette du cœur
C’est pas méchant
C’est bon, moqueur
Il aime les ânes, tous les ânes
Parce qu’il aime les chevaux
Et pour lui, l’âne était cheval
Au temps d’un paradis
Tout de bonté et d’innocence
Du malicieux esprit d’enfance
Dans des chansons, dans des histoires
Juste avant de dire bonsoir
La vie va si vite, si vite
Au grand galop nous précipite
Au feu, grillons, petits sabots
Le pas, le trot et les grelots
Il aime les ânes
Il aime les ânes, tous les ânes
Même s’il hihane, il réfléchit
Les ânes l’aiment
Et moi aussi