Les paroles de la chanson
« À part vous, à part vous »
Louis Chedid
Depuis qu’je vous connais, je ne dors plus.
Nuit et jour, j’pense à vous, j’en peux plus.
Depuis qu’on s’est croisé, votre image me hante.
Ça ne peut plus durer, c’que vous êtes envahissante!
Quelque soit le sujet, le contexte.
Dans mon café au lait, mes corn-flakes.
Tout à l’heure au tabac, sur le grand boulevard,
Vous n’y serez pas, mais moi, je vais vous y voir.
Faut qu’vous fassiez quelque chose, sinon,
Je me dirai morose : A quoi bon?
A quoi bon tout donner pour ne rien recevoir,
Je ne suis pas un curé, ni un saint-bernard.
A part vous, à part vous, la vie ne vaut pas un clou.
A part vous, à part vous, rien ne tient debout.
Tout est flou, tout est mou,
Sens dessus, dessous.
A part vous, à part vous, à part vous, à part vous!
Vous pouvez tâter mon pouls,
Voyez comme il bat, comme il bout.
Je suis à vos genoux, demandez-moi tout.
Je vous voue, je l’avoue,
Un amour un peu fou.
A part vous, à part vous, à part vous!
Plus rien n’a aucun goût,
A part vous.
Si personne ne m’aime, autant en finir.
D’un plongeon dans la Seine, j’irai nourrir,
Tous ces pauvres poissons qui crèvent la dalle,
Autant que quelqu’un profite de ce don d’organes.
Fantôme, esprit frappeur, ectoplasme,
J’reviendrai en douceur envahir la place.
J’irai hanter vos rêves comme vous les miens,
Des baisers sur vos lèvres et des jeux de main.
Alors, vous vous direz :
Comment ai-je été aussi bête,
Pour passer à côté d’un tel mec?
En désespoir de cause, vous ouvrirez le gaz,
Et avant que tout explose,
Vous répéterez ces mêmes phrases :
A part vous, à part vous, la vie ne vaut pas un clou...
Nuit et jour, j’pense à vous, j’en peux plus.
Depuis qu’on s’est croisé, votre image me hante.
Ça ne peut plus durer, c’que vous êtes envahissante!
Quelque soit le sujet, le contexte.
Dans mon café au lait, mes corn-flakes.
Tout à l’heure au tabac, sur le grand boulevard,
Vous n’y serez pas, mais moi, je vais vous y voir.
Faut qu’vous fassiez quelque chose, sinon,
Je me dirai morose : A quoi bon?
A quoi bon tout donner pour ne rien recevoir,
Je ne suis pas un curé, ni un saint-bernard.
A part vous, à part vous, la vie ne vaut pas un clou.
A part vous, à part vous, rien ne tient debout.
Tout est flou, tout est mou,
Sens dessus, dessous.
A part vous, à part vous, à part vous, à part vous!
Vous pouvez tâter mon pouls,
Voyez comme il bat, comme il bout.
Je suis à vos genoux, demandez-moi tout.
Je vous voue, je l’avoue,
Un amour un peu fou.
A part vous, à part vous, à part vous!
Plus rien n’a aucun goût,
A part vous.
Si personne ne m’aime, autant en finir.
D’un plongeon dans la Seine, j’irai nourrir,
Tous ces pauvres poissons qui crèvent la dalle,
Autant que quelqu’un profite de ce don d’organes.
Fantôme, esprit frappeur, ectoplasme,
J’reviendrai en douceur envahir la place.
J’irai hanter vos rêves comme vous les miens,
Des baisers sur vos lèvres et des jeux de main.
Alors, vous vous direz :
Comment ai-je été aussi bête,
Pour passer à côté d’un tel mec?
En désespoir de cause, vous ouvrirez le gaz,
Et avant que tout explose,
Vous répéterez ces mêmes phrases :
A part vous, à part vous, la vie ne vaut pas un clou...