Les paroles de la chanson
« À mardi »
Enzo Enzo
On s’était dit "à mardi"
Huit longs jours jusqu’à mardi
À braver ton absence
À me forcer la vie
On s’était dit "à mardi"
J’ devais partir, j’ suis r’partie
On se faisait confiance
J’ t’ai laissé sur ton lit
Quand le passé me tourne autour
Je me raisonne, je me dis
"Qui vient au monde vient à l’amour"
Et je me dis aussi
"Puisqu’il trouve à pousser sur tout
L’amour est au-dessus de tout"
On s’était dit "à mardi"
Tu as pris un raccourci
Et te voilà un ange
Pour toujours à l’abri
Finalement, tu as franchi
Tes craintes comme ton envie
De prendre des distances
C’est fort quand on grandit
Quand les souvenirs
Se font trop lourds
Je me raisonne, je me dis
"Qui vient au monde vient à l’amour"
Et j’imagine aussi
Sur les déserts, dans les égouts
L’amour est au-dessus de tout
On s’était dit "à mardi"
Dans tes yeux qui me souriaient
J’ai lu "bonne chance"
Je t’en souhaitais aussi
À tes côtés j’ai appris
À planter un paradis
J’y côtoie notre enfance
Nos destins désunis
Quand le passé me tourne autour
Je me raisonne, je me dis
"Qui vient au monde vient à l’amour"
Et je me dis aussi
Que mon chagrin
N’est pas trop lourd
Je n’invente plus quand je prie
J’avance au mieux
Je prends mon tour
Sans dire pardon, sans faire de tri
Entre les bons et les sales jours
Les p’tits bonheurs
Les cons d’ soucis
Huit longs jours jusqu’à mardi
À braver ton absence
À me forcer la vie
On s’était dit "à mardi"
J’ devais partir, j’ suis r’partie
On se faisait confiance
J’ t’ai laissé sur ton lit
Quand le passé me tourne autour
Je me raisonne, je me dis
"Qui vient au monde vient à l’amour"
Et je me dis aussi
"Puisqu’il trouve à pousser sur tout
L’amour est au-dessus de tout"
On s’était dit "à mardi"
Tu as pris un raccourci
Et te voilà un ange
Pour toujours à l’abri
Finalement, tu as franchi
Tes craintes comme ton envie
De prendre des distances
C’est fort quand on grandit
Quand les souvenirs
Se font trop lourds
Je me raisonne, je me dis
"Qui vient au monde vient à l’amour"
Et j’imagine aussi
Sur les déserts, dans les égouts
L’amour est au-dessus de tout
On s’était dit "à mardi"
Dans tes yeux qui me souriaient
J’ai lu "bonne chance"
Je t’en souhaitais aussi
À tes côtés j’ai appris
À planter un paradis
J’y côtoie notre enfance
Nos destins désunis
Quand le passé me tourne autour
Je me raisonne, je me dis
"Qui vient au monde vient à l’amour"
Et je me dis aussi
Que mon chagrin
N’est pas trop lourd
Je n’invente plus quand je prie
J’avance au mieux
Je prends mon tour
Sans dire pardon, sans faire de tri
Entre les bons et les sales jours
Les p’tits bonheurs
Les cons d’ soucis