Les paroles de la chanson
« À la première des chansons »
Philippe Forcioli
La musique comme un soulier
Musiciens en pantoufles et
Solvare! Solvare!
Qu’il serait bon à la première
Dès la première des chansons
De s’en aller en bandoulière
Bras d’ssus, bras d’ssous à l’unisson
Et nous parler et nous connaître
Échanger de mêmes frissons
Ouvrir au vent notre fenêtre
Dès la première des chansons
À la première des chansons
Qu’il serait bon dans ma panière
De vous porter les plus beaux fruits
Et que ma lyre chansonnière
Vous joue un air du paradis
Avec la pomme, avec l’amande
Avec la figue et les raisins
C’est pour toi, voisin, cette offrande
Pour toi, voisine, ce refrain
Pour toi, voisine, ce refrain
Qui es-tu donc, quelle est ta poisse
Quelle est ta grâce, quel est ton nom?
Vis-tu de joie, vis-tu d’angoisse
Enfant de cactus ou cresson?
Est-ce que les mots et la musique
Te font pleurer, bâiller, prier?
Est-ce que l’amour t’a fait tragique
Ou pragmatique ou bien léger,
Ou bien léger, ou bien léger?
Qu’il serait bon dès la première
À la première des parolées
Que de s’ouvrir en cœurs sincères
Chacun son rôle et sa livrée
Qui le meunier, qui la meunière
Qui le ravi, qui bohémien
Qui le berger, qui la bergère
Et qui l’aveugle avec son chien
Et qui l’aveugle avec son chien
Ne sommes que des santons sur cette Terre
En attendant d’être figés
Sommes fichés, tout nus, misère!
Ordinateur et son filet
Avant que sonne la trompette
Une chanson, ami, t’y es!
Je joue dans le rôle du poète
Et toi celui du puisatier
Et toi celui du puisatier
Qu’il serait bon dès la première
À la première des chansons
De s’en aller en bandoulière
Bras d’ssus, bras d’ssous à l’unisson
Nous parler, nous connaître
Échanger de mêmes frissons
Ouvrir au vent notre fenêtre
Dès la première des chansons
À la première des chansons
Musiciens en pantoufles et
Solvare! Solvare!
Qu’il serait bon à la première
Dès la première des chansons
De s’en aller en bandoulière
Bras d’ssus, bras d’ssous à l’unisson
Et nous parler et nous connaître
Échanger de mêmes frissons
Ouvrir au vent notre fenêtre
Dès la première des chansons
À la première des chansons
Qu’il serait bon dans ma panière
De vous porter les plus beaux fruits
Et que ma lyre chansonnière
Vous joue un air du paradis
Avec la pomme, avec l’amande
Avec la figue et les raisins
C’est pour toi, voisin, cette offrande
Pour toi, voisine, ce refrain
Pour toi, voisine, ce refrain
Qui es-tu donc, quelle est ta poisse
Quelle est ta grâce, quel est ton nom?
Vis-tu de joie, vis-tu d’angoisse
Enfant de cactus ou cresson?
Est-ce que les mots et la musique
Te font pleurer, bâiller, prier?
Est-ce que l’amour t’a fait tragique
Ou pragmatique ou bien léger,
Ou bien léger, ou bien léger?
Qu’il serait bon dès la première
À la première des parolées
Que de s’ouvrir en cœurs sincères
Chacun son rôle et sa livrée
Qui le meunier, qui la meunière
Qui le ravi, qui bohémien
Qui le berger, qui la bergère
Et qui l’aveugle avec son chien
Et qui l’aveugle avec son chien
Ne sommes que des santons sur cette Terre
En attendant d’être figés
Sommes fichés, tout nus, misère!
Ordinateur et son filet
Avant que sonne la trompette
Une chanson, ami, t’y es!
Je joue dans le rôle du poète
Et toi celui du puisatier
Et toi celui du puisatier
Qu’il serait bon dès la première
À la première des chansons
De s’en aller en bandoulière
Bras d’ssus, bras d’ssous à l’unisson
Nous parler, nous connaître
Échanger de mêmes frissons
Ouvrir au vent notre fenêtre
Dès la première des chansons
À la première des chansons