Les paroles de la chanson
« À l'ombre du cœur de ma mie »
Georges Brassens
A l’ombre du cœur de ma mie
Un oiseau s’était endormi
Un jour qu’elle faisait semblant
D’être la Belle au bois dormant
Et moi, me mettant à genoux
Bonnes fées, sauvegardez-nous
Sur ce cœur j’ai voulu poser
Une manière de baiser
Alors cet oiseau de malheur
Se mit à crier "Au voleur!"
"Au voleur et à l’assassin!"
Comme si j’en voulais à son sein
Aux appels de cet étourneau
Grand branle-bas dans Landerneau
Tout le monde et son père accourt
Aussitôt lui porter secours
Tant de rumeurs, de grondements
Ont fait peur aux enchantements
Et la belle désabusée
Ferma son cœur à mon baiser
Et c’est depuis ce temps, ma sœur
Que je suis devenu chasseur
Que mon arbalète à la main
Je cours les bois et les chemins
Un oiseau s’était endormi
Un jour qu’elle faisait semblant
D’être la Belle au bois dormant
Et moi, me mettant à genoux
Bonnes fées, sauvegardez-nous
Sur ce cœur j’ai voulu poser
Une manière de baiser
Alors cet oiseau de malheur
Se mit à crier "Au voleur!"
"Au voleur et à l’assassin!"
Comme si j’en voulais à son sein
Aux appels de cet étourneau
Grand branle-bas dans Landerneau
Tout le monde et son père accourt
Aussitôt lui porter secours
Tant de rumeurs, de grondements
Ont fait peur aux enchantements
Et la belle désabusée
Ferma son cœur à mon baiser
Et c’est depuis ce temps, ma sœur
Que je suis devenu chasseur
Que mon arbalète à la main
Je cours les bois et les chemins