Les paroles de la chanson
« A l'intérieur »
Luke
A l’intérieur je rêve de pouvoir te toucher
A l’intérieur je crains de ne pouvoir en rêver
A l’intérieur je suis le tout et son contraire
A l’intérieur l’espoir est c’qu’il me reste à faire
A l’intérieur l’amour vaut bien que l’on s’y glisse
A l’intérieur mon cri est tout juste une esquisse
C’est la dernière lueur, l’écorce va s’embrasser
C’est la première rancoeur la peur va m’embrasser
Mais à l’intérieur
J’aimerais y croire
A l’intérieur
J’aimerais t’y voir
Jusqu’à la première heure oublier le sublime
Jusqu’à la dernière heure c’est le corps qui scintille
A l’intérieur le sang coulerait pour d’autres veines
A l’intérieur je règne, à l’intérieur je règne
A l’intérieur les ruines redeviendront des pierres
A l’intérieur je crois que tout est à refaire
C’est l’année du silence
Nulle trace d’aucune croix
A l’intérieur je danse
A l’intérieur je vois
Mais si tu savais ce qu’on y tente
Si tu savais ce qu’on y voit
Toutes les flammes de l’innocence
Sur la crinière d’un feu de joie
J’y ai brûlé mon silence
Et bien à toi
A l’intérieur nul ange, nul être d’aucune sorte
A l’intérieur je crains d’avoir fermé la porte
A l’intérieur est-ce l’âme ou bien la poussière
A l’intérieur je gagne, à l’intérieur je perds
A l’intérieur s’écoule le plus vieil océan
De tristes beautés monstres
Qui m’craignent et qui me hantent
A l’appel du sauvage
Elles répandent de leur danse
L’amour de la chair et le sang des romances
Mais si tu savais ce qu’on y tente
Si tu savais ce qu’on y voit
Toutes les flammes de l’innocence
Sur la crinière d’un feu de joie
J’y ai brûlé mon silence
Et bien à toi
A l’intérieur je crains de ne pouvoir en rêver
A l’intérieur je suis le tout et son contraire
A l’intérieur l’espoir est c’qu’il me reste à faire
A l’intérieur l’amour vaut bien que l’on s’y glisse
A l’intérieur mon cri est tout juste une esquisse
C’est la dernière lueur, l’écorce va s’embrasser
C’est la première rancoeur la peur va m’embrasser
Mais à l’intérieur
J’aimerais y croire
A l’intérieur
J’aimerais t’y voir
Jusqu’à la première heure oublier le sublime
Jusqu’à la dernière heure c’est le corps qui scintille
A l’intérieur le sang coulerait pour d’autres veines
A l’intérieur je règne, à l’intérieur je règne
A l’intérieur les ruines redeviendront des pierres
A l’intérieur je crois que tout est à refaire
C’est l’année du silence
Nulle trace d’aucune croix
A l’intérieur je danse
A l’intérieur je vois
Mais si tu savais ce qu’on y tente
Si tu savais ce qu’on y voit
Toutes les flammes de l’innocence
Sur la crinière d’un feu de joie
J’y ai brûlé mon silence
Et bien à toi
A l’intérieur nul ange, nul être d’aucune sorte
A l’intérieur je crains d’avoir fermé la porte
A l’intérieur est-ce l’âme ou bien la poussière
A l’intérieur je gagne, à l’intérieur je perds
A l’intérieur s’écoule le plus vieil océan
De tristes beautés monstres
Qui m’craignent et qui me hantent
A l’appel du sauvage
Elles répandent de leur danse
L’amour de la chair et le sang des romances
Mais si tu savais ce qu’on y tente
Si tu savais ce qu’on y voit
Toutes les flammes de l’innocence
Sur la crinière d’un feu de joie
J’y ai brûlé mon silence
Et bien à toi