Les paroles de la chanson
« À l'heure qu'il est »
Lynda Lemay
À l’heure qu’il est
T’as p’t’être marié une étrangère
Dans un de tes voyages d’affaires
Et puis, qui sait
Y a p’t’être au fond d’une pouponnière
Un p’tit bonhomme dont tu es l’père
À l’heure qu’il est
T’as p’t’être un chalet en campagne
Dans une forêt, sur une montagne
Où ta famille t’accompagne
Plus j’pense à toi, plus tu t’éloignes
À l’heure qu’il est
T’es p’t’être au lit collé sur elle
En train d’visiter ses dentelles
Et puis, qui sait
T’as p’t’être des cheveux gris sur les tempes
J’la vois d’ici qui t’complimente
À l’heure qu’il est
Y est peut-être temps que je comprenne
Qu’il faut que j’accepte ma peine
Qu’il faut que j’avance et que j’la traîne
Faut pas qu’j’attende que tu reviennes
Mais, à l’heure qu’il est
T’es p’t’être en train d’faire tes valises
P’t’être que ta femme te méprise
Et puis, qui sait
À force de t’avoir à leurs trousses
P’t’être qu’y a des jupons qui s’retroussent
À l’heure qu’il est
Comment ça s’fait que j’suis jalouse
Ça fait dix ans qu’j’ai les yeux rouges
Mais quel plaisir est-ce que j’peux prendre
À rien savoir, à tout prétendre
À l’heure qu’il est
T’as p’t’être pas calmé tes colères
T’es p’t’être assis devant ta bière
En train de secouer la salière
En regardant ta vie s’défaire
À l’heure qu’il est
J’ai cette dernière hypothèse
P’t’être que tu viens d’quitter ta chaise
Et puis qui sait
P’t’être que tu viens d’ouvrir la porte
P’t’être qu’la raison pour que tu sortes
C’est que t’en peux plus
Ça fait peut-être dix ans qu’t’hésites
Dix appartements que t’habites
En sachant bien qu’un jour ou l’autre
Tu reviendras vivre dans le nôtre
T’as p’t’être marié une étrangère
Dans un de tes voyages d’affaires
Et puis, qui sait
Y a p’t’être au fond d’une pouponnière
Un p’tit bonhomme dont tu es l’père
À l’heure qu’il est
T’as p’t’être un chalet en campagne
Dans une forêt, sur une montagne
Où ta famille t’accompagne
Plus j’pense à toi, plus tu t’éloignes
À l’heure qu’il est
T’es p’t’être au lit collé sur elle
En train d’visiter ses dentelles
Et puis, qui sait
T’as p’t’être des cheveux gris sur les tempes
J’la vois d’ici qui t’complimente
À l’heure qu’il est
Y est peut-être temps que je comprenne
Qu’il faut que j’accepte ma peine
Qu’il faut que j’avance et que j’la traîne
Faut pas qu’j’attende que tu reviennes
Mais, à l’heure qu’il est
T’es p’t’être en train d’faire tes valises
P’t’être que ta femme te méprise
Et puis, qui sait
À force de t’avoir à leurs trousses
P’t’être qu’y a des jupons qui s’retroussent
À l’heure qu’il est
Comment ça s’fait que j’suis jalouse
Ça fait dix ans qu’j’ai les yeux rouges
Mais quel plaisir est-ce que j’peux prendre
À rien savoir, à tout prétendre
À l’heure qu’il est
T’as p’t’être pas calmé tes colères
T’es p’t’être assis devant ta bière
En train de secouer la salière
En regardant ta vie s’défaire
À l’heure qu’il est
J’ai cette dernière hypothèse
P’t’être que tu viens d’quitter ta chaise
Et puis qui sait
P’t’être que tu viens d’ouvrir la porte
P’t’être qu’la raison pour que tu sortes
C’est que t’en peux plus
Ça fait peut-être dix ans qu’t’hésites
Dix appartements que t’habites
En sachant bien qu’un jour ou l’autre
Tu reviendras vivre dans le nôtre