Les paroles de la chanson
« À ciel ouvert »
Charles Trenet
La jeunesse actuelle est cell’ cell’ de tous les temps.
Pas d’problèm’ : les cœurs ont des ailes
Pour qui les comprend.
Pour qui l’veut bien, c’est facil’, pourtant,
D’être de son époque
Et d’la voir fêter son printemps,
Ça n’a rien qui choque.
La jeunesse actuelle est celle
Qui vit en chantant.
A ciel ouvert, à ch’veux défaits, à bouches gourmandes,
Voici venir le temps joli du soleil.
Le temps d’aimer la vie en fleur qui vous l’demande,
Le temps de battre avec son cœur le réveil
Et surtout, mes enfants, n’croyez pas ceux qui disent
Que l’amour, l’grand amour est un péché
Car souvent, en morale, leur envie se déguise
Et ces jaloux voudraient vous empêcher
De vivre.
A ciel ouvert, à bleu d’azur, à cloch’s qui dansent
A rêv’ la nuit, à saut’ le jour au soleil.
A ciel ouvert, à ch’veux défaits, à joies immenses,
A loin des pions, à liberté, goût du jour.
A plonge dans l’eau, ah! Quel pays, viv’ la Provence,
A crises de rire, à mille folies, belles amours.
Et surtout, mes enfants, n’pensez pas à l’automne.
Il viendra bien à temps, tout comm’ l’hiver.
Profitez au contraire du bonheur que vous donnent
Les vrais beaux jours sous les grands arbres verts. Entrez en transe!
A teint de feu, à chant’ loisir, à grand’s vacances.
Vivez vos jeux, à craqu’ désir, à ciel ouvert,
A craqu’ désir, à CIEL OUVERT!
Pas d’problèm’ : les cœurs ont des ailes
Pour qui les comprend.
Pour qui l’veut bien, c’est facil’, pourtant,
D’être de son époque
Et d’la voir fêter son printemps,
Ça n’a rien qui choque.
La jeunesse actuelle est celle
Qui vit en chantant.
A ciel ouvert, à ch’veux défaits, à bouches gourmandes,
Voici venir le temps joli du soleil.
Le temps d’aimer la vie en fleur qui vous l’demande,
Le temps de battre avec son cœur le réveil
Et surtout, mes enfants, n’croyez pas ceux qui disent
Que l’amour, l’grand amour est un péché
Car souvent, en morale, leur envie se déguise
Et ces jaloux voudraient vous empêcher
De vivre.
A ciel ouvert, à bleu d’azur, à cloch’s qui dansent
A rêv’ la nuit, à saut’ le jour au soleil.
A ciel ouvert, à ch’veux défaits, à joies immenses,
A loin des pions, à liberté, goût du jour.
A plonge dans l’eau, ah! Quel pays, viv’ la Provence,
A crises de rire, à mille folies, belles amours.
Et surtout, mes enfants, n’pensez pas à l’automne.
Il viendra bien à temps, tout comm’ l’hiver.
Profitez au contraire du bonheur que vous donnent
Les vrais beaux jours sous les grands arbres verts. Entrez en transe!
A teint de feu, à chant’ loisir, à grand’s vacances.
Vivez vos jeux, à craqu’ désir, à ciel ouvert,
A craqu’ désir, à CIEL OUVERT!