Les paroles de la chanson
« A celles d'avant »
Soldat Louis
Que sont-elles donc devenues, ces tendres jeunes filles
Qui ont partagé un temps ces... ces tendres nuits
On se les passe en revue c’est, pas très gentil
Sans doute et en même temps, c’est qu’elles sont ici
Seraient-elles clémentes avec l’odieux
Qui ne les prenait que pour un jeu
Certaines d’entre elles sont sur’ment, belles d’un soir
Guettant l’étalon, le pur sang, à un comptoir
D’autres peut-être belles mamans, d’un beau gaillard
Ou d’la voleuse de leur grand... grand désespoir
Même à celles qui ont fait leurs adieux
Pas un instant on ne leur en veut
Puisqu’on parle d’aventures, celles moins réussies
Evidemment les infidèles, ont place ici
C’est d’une logique naturelle, car on s’ennuie
Dans les bras de qui s’fait la belle, quand on vieillit
Cruel et pourtant si délicieux
Ce bonheur tout simple d’être deux
Vu le faible pour la rime... L... et qui s’entend
Les dommages font couler l’rimel, nous tout autant
Le passé voué à l’éternel, est si plaisant
Qu’il serait doux de croiser celles, celles d’avant
Nous aimeraient-elles encore un peu
A l’heure où nous comptons nos cheveux?
Qui ont partagé un temps ces... ces tendres nuits
On se les passe en revue c’est, pas très gentil
Sans doute et en même temps, c’est qu’elles sont ici
Seraient-elles clémentes avec l’odieux
Qui ne les prenait que pour un jeu
Certaines d’entre elles sont sur’ment, belles d’un soir
Guettant l’étalon, le pur sang, à un comptoir
D’autres peut-être belles mamans, d’un beau gaillard
Ou d’la voleuse de leur grand... grand désespoir
Même à celles qui ont fait leurs adieux
Pas un instant on ne leur en veut
Puisqu’on parle d’aventures, celles moins réussies
Evidemment les infidèles, ont place ici
C’est d’une logique naturelle, car on s’ennuie
Dans les bras de qui s’fait la belle, quand on vieillit
Cruel et pourtant si délicieux
Ce bonheur tout simple d’être deux
Vu le faible pour la rime... L... et qui s’entend
Les dommages font couler l’rimel, nous tout autant
Le passé voué à l’éternel, est si plaisant
Qu’il serait doux de croiser celles, celles d’avant
Nous aimeraient-elles encore un peu
A l’heure où nous comptons nos cheveux?