Les paroles de la chanson
« A.a. »
Justin(e)
De ma naissance je ne garde qu’un doute sérieux
Et que reste-t-il d’un moi mort depuis déjà trop longtemps
Quand à elle, elle vient quand elle veut
Et me laisse en suspens, tornade désorganisante.
De ma naissance je ne garde qu’un doute sérieux
Et cette pensée qui m’abandonne à tous les degrés
Je contourne les lumières, je ne commerce avec personne
Et reste en deçà des mouvements.
De vous à moi, quelle joie de s’autodétruire
Quel plaisir de voir son corps décomposé jours après jours
Quelle joie de s’autodétruire
D’avoir à choisir entre l’explosion ou la paralysie
Quelle joie de s’autodétruire
De réduire à néant tout ce qui me sépare de moi
Quelle joie de s’autodétruire.
Il ne me reste qu’a donner du sens à l’irreprésentable
Accuser l’autre qui vient de vol, de mensonge et de viol.
J’ai beau fermer toutes les fenêtres
C’est par chaque trou qu’ils me pénètrent
Et de leurs voix obsédantes m’inondent de leurs injures.
Il ne me reste qu’a donner du sens à l’irreprésentable
Contenir dans un seul organe, le sexe, la mort et leurs femmes
Et faire intervenir enfin l’inconnu
Qui me dévore de son regard obsédant.
De vous à moi, quelle joie de tous vous détruire
Quel plaisir de voir des corps se décomposer tous les jours
Quelle joie de tous vous détruire
De vous obliger à choisir entre la corde et l’asphyxie
Quelle joie de tous vous détruire
De réduire à néant tout ce qui me sépare de vous
Quelle joie de tous vous détruire
Et que reste-t-il d’un moi mort depuis déjà trop longtemps
Quand à elle, elle vient quand elle veut
Et me laisse en suspens, tornade désorganisante.
De ma naissance je ne garde qu’un doute sérieux
Et cette pensée qui m’abandonne à tous les degrés
Je contourne les lumières, je ne commerce avec personne
Et reste en deçà des mouvements.
De vous à moi, quelle joie de s’autodétruire
Quel plaisir de voir son corps décomposé jours après jours
Quelle joie de s’autodétruire
D’avoir à choisir entre l’explosion ou la paralysie
Quelle joie de s’autodétruire
De réduire à néant tout ce qui me sépare de moi
Quelle joie de s’autodétruire.
Il ne me reste qu’a donner du sens à l’irreprésentable
Accuser l’autre qui vient de vol, de mensonge et de viol.
J’ai beau fermer toutes les fenêtres
C’est par chaque trou qu’ils me pénètrent
Et de leurs voix obsédantes m’inondent de leurs injures.
Il ne me reste qu’a donner du sens à l’irreprésentable
Contenir dans un seul organe, le sexe, la mort et leurs femmes
Et faire intervenir enfin l’inconnu
Qui me dévore de son regard obsédant.
De vous à moi, quelle joie de tous vous détruire
Quel plaisir de voir des corps se décomposer tous les jours
Quelle joie de tous vous détruire
De vous obliger à choisir entre la corde et l’asphyxie
Quelle joie de tous vous détruire
De réduire à néant tout ce qui me sépare de vous
Quelle joie de tous vous détruire