Les paroles de la chanson
« 78543 habitants »
Vincent Delerm
Les bracelets rouges à la piscine
J’ai passé l’âge de regarder
Les filles juste en face des cabines
Qui accrochent, décrochent les paniers
C’est bon, ça va, j’ai plus quinze ans
Un été dans une ville
De soixante dix-huit mille
Cinq cent quarante-trois habitants
Le départ de Lucile
Je nage en y pensant
Seul dans le centre ville, j’attends
Mélange de shampoing et d’urine
Sur mini-carrelage bleu vaguement
Lorsque mes épaules dégoulinent
Le bracelet défait, je le rends
C’est bon, ça va, j’ai plus quinze ans
Un été dans une ville
De soixante dix-huit mille
Cinq cent quarante-trois habitants
Les soirées sans Lucile
Je nage en y pensant
Seul dans le centre ville, j’attends
Et dans le reflet des berlines
Un bronzage un peu différent
Dans les yeux des filles des cabines
Je suis très vieux, je suis très blanc
C’est bon, ça va, j’ai plus quinze ans
Un été dans une ville
De soixante dix-huit mille
Cinq cent quarante-trois habitants
Seul dans le centre ville, j’attends
J’ai passé l’âge de regarder
Les filles juste en face des cabines
Qui accrochent, décrochent les paniers
C’est bon, ça va, j’ai plus quinze ans
Un été dans une ville
De soixante dix-huit mille
Cinq cent quarante-trois habitants
Le départ de Lucile
Je nage en y pensant
Seul dans le centre ville, j’attends
Mélange de shampoing et d’urine
Sur mini-carrelage bleu vaguement
Lorsque mes épaules dégoulinent
Le bracelet défait, je le rends
C’est bon, ça va, j’ai plus quinze ans
Un été dans une ville
De soixante dix-huit mille
Cinq cent quarante-trois habitants
Les soirées sans Lucile
Je nage en y pensant
Seul dans le centre ville, j’attends
Et dans le reflet des berlines
Un bronzage un peu différent
Dans les yeux des filles des cabines
Je suis très vieux, je suis très blanc
C’est bon, ça va, j’ai plus quinze ans
Un été dans une ville
De soixante dix-huit mille
Cinq cent quarante-trois habitants
Seul dans le centre ville, j’attends