Les paroles de la chanson
« 14 février »
Jane Birkin
L’amour n’est jamais partagé,
Dire que j’ai le cœur brisé
S’rait sans doute exagéré
L’orgueil a pris un coup
Ce soir, c’est vrai, j’ai mal
Dans la sphère du coup
J’ai peine dans la région de l’espoir
Déplacés, les "au revoir"
C’était fait
Tu avais ton manteau imperméable
Contre les vents, les temps variables
Plus besoin d’une chambre à l’abri
Et moi, j’ai gardé dans ma tête
La fenêtre, la tempête
D’une petite chambre perchée
Tes mains qui n’ cherchaient
Que l’affection d’une nuit
Sache que cette image-là
Me porte dans ma vie
Ce soir, tu prends ta route tranquille
J’ crois même que tu n’ penses
Qu’à la prochaine ville
Tu n’ t’es même pas retourné
Pas un regard dans le rétro
De ce bus de tournée
Merci l’artiste
Désormais je n’ serai plus triste
Un quatorze février, c’est trop banal
{x3:}
Merci pour ce long baiser
Qui, pour moi, a duré toute une année
Dire que j’ai le cœur brisé
S’rait sans doute exagéré
L’orgueil a pris un coup
Ce soir, c’est vrai, j’ai mal
Dans la sphère du coup
J’ai peine dans la région de l’espoir
Déplacés, les "au revoir"
C’était fait
Tu avais ton manteau imperméable
Contre les vents, les temps variables
Plus besoin d’une chambre à l’abri
Et moi, j’ai gardé dans ma tête
La fenêtre, la tempête
D’une petite chambre perchée
Tes mains qui n’ cherchaient
Que l’affection d’une nuit
Sache que cette image-là
Me porte dans ma vie
Ce soir, tu prends ta route tranquille
J’ crois même que tu n’ penses
Qu’à la prochaine ville
Tu n’ t’es même pas retourné
Pas un regard dans le rétro
De ce bus de tournée
Merci l’artiste
Désormais je n’ serai plus triste
Un quatorze février, c’est trop banal
{x3:}
Merci pour ce long baiser
Qui, pour moi, a duré toute une année