Les paroles de la chanson
« 1 million »
Lofofora
Non pas le temps sur terre de bailler à la lune
Dans une société totalitaire la thune
Comme une mère abusive, exclusif point de repère:
Ton père t’a appris, tout travail mérite salaire
Mais pour celui qui n’en a pas le respect se perd
Même les amis fuient, ils se tirent ventre à terre
Ils préfèrent ne plus te reconnaitre, mon frère
Plutôt qu’affronter, rencontrer la misère
Quand commence la lente descente aux enfers
Zéro crédit, saisie, poursuites judiciaires
Mordre la poussière tout le monde flippe de ça
C’est pourquoi, aujourd’hui, c’est chacun pour soi
Voilà t’a pas le choix
Ma foi tant pis, je remballe mes utopies
Mon idéal à deux balles, à la bourse de Paris
Est coté que dalle mais faut pas s’émouvoir;
Le seul espoir est d’avoir un gros paquet de dollars
1 million de façons
Autant de raisons de déraper
Tu peux tout tenter
Mais te laisse pas rattraper, happer
Par la came ou les flammes des gardiens de la paix
Jusque là tu pensais pouvoir y échapper
La fortune, mesdames, messieurs, appartient aux ambitieux
Dommage pour ceux qui se découragent
Les anxieux ne feront pas de vieux os
Au mieux obligés de mendier, affligés
Quémander de quoi manger
Excusez-moi de vous déranger
Pardonnez-moi d’exister
J’veux pas vous importuner
Pas demander la pitié
Mais me voilà sous le seuil de pauvreté
Non personne ne veut être confronté
A cette éventualité maudite de la réalité
Mais dites-vous bien que rien n’est acquis
Méditons une minute, si posséder
Entasser des sous représente tout
Sommes-nous normaux ou bien fous?
A qui appartenons-nous?
Sommes-nous des maquereaux ou des putes?
Alors qu’est ce qui importe est ce la route ou le but?
1 million de façons
Autant de raisons de déraper
Tu peux tout tenter
Mais te laisse pas rattraper, happer
Par la came ou les flammes des gardiens de la paix
Jusque là tu pensais pouvoir y échapper
Te voilà perdu sans boulot
Rendu trop tôt au bout du rouleau
Tu te vois déjà clodo, crado, collé au goulot
Il te faut un plan
Un tuyau qui te sorte la tête de l’eau
Un filon illégal ou réglo
C’est égal, pas de scrupules à dealer des kilos
Tu vas pas culpabiliser quand on voit ces salauds
Qui se paient des villas, des yatchs sur le dos des prolos
Tu sais le malheur des autres fait le bonheur des escrocs
Alors t’as foncé, tête baissée, sans penser
Une paille enfoncée dans le nez
Un rail pour aller plus vite au sommet
Puisque arrive enfin la monnaie facile à gagner
Mais s’il n’y avait qu’à se baisser
Tu te serais pas ramassé à la première fausse note:
Une paire de menottes, un procès
Des années à passer derrière un porte
La mariée était en blanc
Tu voulais lui piquer la dot
Maintenant pour remonter le temps
Il n’y a pas d’antidote
Dans une société totalitaire la thune
Comme une mère abusive, exclusif point de repère:
Ton père t’a appris, tout travail mérite salaire
Mais pour celui qui n’en a pas le respect se perd
Même les amis fuient, ils se tirent ventre à terre
Ils préfèrent ne plus te reconnaitre, mon frère
Plutôt qu’affronter, rencontrer la misère
Quand commence la lente descente aux enfers
Zéro crédit, saisie, poursuites judiciaires
Mordre la poussière tout le monde flippe de ça
C’est pourquoi, aujourd’hui, c’est chacun pour soi
Voilà t’a pas le choix
Ma foi tant pis, je remballe mes utopies
Mon idéal à deux balles, à la bourse de Paris
Est coté que dalle mais faut pas s’émouvoir;
Le seul espoir est d’avoir un gros paquet de dollars
1 million de façons
Autant de raisons de déraper
Tu peux tout tenter
Mais te laisse pas rattraper, happer
Par la came ou les flammes des gardiens de la paix
Jusque là tu pensais pouvoir y échapper
La fortune, mesdames, messieurs, appartient aux ambitieux
Dommage pour ceux qui se découragent
Les anxieux ne feront pas de vieux os
Au mieux obligés de mendier, affligés
Quémander de quoi manger
Excusez-moi de vous déranger
Pardonnez-moi d’exister
J’veux pas vous importuner
Pas demander la pitié
Mais me voilà sous le seuil de pauvreté
Non personne ne veut être confronté
A cette éventualité maudite de la réalité
Mais dites-vous bien que rien n’est acquis
Méditons une minute, si posséder
Entasser des sous représente tout
Sommes-nous normaux ou bien fous?
A qui appartenons-nous?
Sommes-nous des maquereaux ou des putes?
Alors qu’est ce qui importe est ce la route ou le but?
1 million de façons
Autant de raisons de déraper
Tu peux tout tenter
Mais te laisse pas rattraper, happer
Par la came ou les flammes des gardiens de la paix
Jusque là tu pensais pouvoir y échapper
Te voilà perdu sans boulot
Rendu trop tôt au bout du rouleau
Tu te vois déjà clodo, crado, collé au goulot
Il te faut un plan
Un tuyau qui te sorte la tête de l’eau
Un filon illégal ou réglo
C’est égal, pas de scrupules à dealer des kilos
Tu vas pas culpabiliser quand on voit ces salauds
Qui se paient des villas, des yatchs sur le dos des prolos
Tu sais le malheur des autres fait le bonheur des escrocs
Alors t’as foncé, tête baissée, sans penser
Une paille enfoncée dans le nez
Un rail pour aller plus vite au sommet
Puisque arrive enfin la monnaie facile à gagner
Mais s’il n’y avait qu’à se baisser
Tu te serais pas ramassé à la première fausse note:
Une paire de menottes, un procès
Des années à passer derrière un porte
La mariée était en blanc
Tu voulais lui piquer la dot
Maintenant pour remonter le temps
Il n’y a pas d’antidote