Les paroles de la chanson
« Pardonnez-moi mad'moiselle »
Jean Ferrat
Pardonnez-moi mad’moiselle
Je suis plein de confusion
D’avoir frôlé vos dentelles
Effleuré vos bas nylon
J’ai pas d’excuse officielle
Ni de justification
Vraiment vous étiez si belle
Et puis vous sentiez si bon
C’est vrai je suis pas sortable
J’ai pas de conversation
Je m’ennuie chez les notables
Dans les repas les salons
J’ai l’oreille imperméable
Je n’entends pas les questions
J’ai le cerveau sous la table
Ou je dessine au plafond
J’ai des goûts épouvantables
Des idées de petit con
L’Economie ça m’accable
Autant que la Religion
Tous les sujets honorables
Le Sport et l’Education
Les maladies incurables
Ça me donne le bourdon
J’aimerais mieux je vous jure
Un p’tit air d’accordéon
Une balade en voiture
Un sandwich au saucisson
Un petit coin de verdure
Une rivière un pinson
Votre main sur la figure
Pour un baiser polisson
Le soir vous seriez encline
A venir dans ma maison
Une boîte de sardines
Serait pour nous du saumon
En délaçant vos bottines
En arrachant vos boutons
Pour vous convaincre en sourdine
J’aurais d’la conversation
Pardonnez-moi mad’moiselle
Je suis plein de confusion
D’avoir frôlé vos dentelles
Effleuré vos bas nylon
J’ai pas d’excuse officielle
Ni de justification
Vraiment vous étiez si belle
Et puis vous sentiez si bon
Je suis plein de confusion
D’avoir frôlé vos dentelles
Effleuré vos bas nylon
J’ai pas d’excuse officielle
Ni de justification
Vraiment vous étiez si belle
Et puis vous sentiez si bon
C’est vrai je suis pas sortable
J’ai pas de conversation
Je m’ennuie chez les notables
Dans les repas les salons
J’ai l’oreille imperméable
Je n’entends pas les questions
J’ai le cerveau sous la table
Ou je dessine au plafond
J’ai des goûts épouvantables
Des idées de petit con
L’Economie ça m’accable
Autant que la Religion
Tous les sujets honorables
Le Sport et l’Education
Les maladies incurables
Ça me donne le bourdon
J’aimerais mieux je vous jure
Un p’tit air d’accordéon
Une balade en voiture
Un sandwich au saucisson
Un petit coin de verdure
Une rivière un pinson
Votre main sur la figure
Pour un baiser polisson
Le soir vous seriez encline
A venir dans ma maison
Une boîte de sardines
Serait pour nous du saumon
En délaçant vos bottines
En arrachant vos boutons
Pour vous convaincre en sourdine
J’aurais d’la conversation
Pardonnez-moi mad’moiselle
Je suis plein de confusion
D’avoir frôlé vos dentelles
Effleuré vos bas nylon
J’ai pas d’excuse officielle
Ni de justification
Vraiment vous étiez si belle
Et puis vous sentiez si bon