Les paroles de la chanson
« Hourrah »
Jean Ferrat
On a les yeux de toutes les couleurs
Le rire aux lèvres et la colère au cœur
Et des milliers de chansons dans la voix
Vous mes amis que je ne connais pas
Je ne vous connais pas
Mais je vous imagine
Rien d’autre comme en moi
Qu’un rêve qui s’obstine
Hourrah
On a le front mouillé de tous les ciels
On a l’amour aux rythmes essentiels
Des rivages d’étoiles sous nos pas
Vous mes amis que je ne connais pas
Je ne vous connais pas
Mais je sais qui vous êtes
De grands poissons lilas
Dansent dans votre tête
Hourrah
Depuis le temps qu’on joue les mêmes billes
Que le temps passe au bras des mêmes filles
Et qu’à la source on boit le même vin
Vous mes amis je vous connais si bien
Et le temps d’un refrain
Et l’espace d’un cri
Et le temps d’un refrain
C’est pour vous que je crie
Hourrah
Pour chaque fruit mûrit une saison
C’est en été que tombent les prisons
Grenade un jour aura brisé ses liens
Vous mes amis que je connais si bien
L’avenir l’avenir
Ouvre ses jambes bleues
Faudra-t-il en mourir
Ou bien n’est-ce qu’un jeu
Hourrah
Paris s’endort à l’heure où le matin
Un autre monde est à moitié chemin
En nous aidant le ciel nous aidera
Vous mes amis que je ne connais pas
En nous aidant le ciel nous aidera
Vous mes amis que je ne connais pas
Hourrah
Le rire aux lèvres et la colère au cœur
Et des milliers de chansons dans la voix
Vous mes amis que je ne connais pas
Je ne vous connais pas
Mais je vous imagine
Rien d’autre comme en moi
Qu’un rêve qui s’obstine
Hourrah
On a le front mouillé de tous les ciels
On a l’amour aux rythmes essentiels
Des rivages d’étoiles sous nos pas
Vous mes amis que je ne connais pas
Je ne vous connais pas
Mais je sais qui vous êtes
De grands poissons lilas
Dansent dans votre tête
Hourrah
Depuis le temps qu’on joue les mêmes billes
Que le temps passe au bras des mêmes filles
Et qu’à la source on boit le même vin
Vous mes amis je vous connais si bien
Et le temps d’un refrain
Et l’espace d’un cri
Et le temps d’un refrain
C’est pour vous que je crie
Hourrah
Pour chaque fruit mûrit une saison
C’est en été que tombent les prisons
Grenade un jour aura brisé ses liens
Vous mes amis que je connais si bien
L’avenir l’avenir
Ouvre ses jambes bleues
Faudra-t-il en mourir
Ou bien n’est-ce qu’un jeu
Hourrah
Paris s’endort à l’heure où le matin
Un autre monde est à moitié chemin
En nous aidant le ciel nous aidera
Vous mes amis que je ne connais pas
En nous aidant le ciel nous aidera
Vous mes amis que je ne connais pas
Hourrah